LISTE DES 100 MEILLEURES UNIVERSITES AFRICAINES
( En cliquant, sur le nom de chaque université, vous accéderez à une image architecturale de l'université, ET, à un certain nombre de renseignements de cette université. )
LISTE DES 100 MEILLEURES UNIVERSITES AFRICAINES
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Pour nous Tunisiens, le constat est amère, nous qui, pendant longtemps, avons été fiers de nos choix en matière d’éducation, et qui, pendant des décennies, fanfaronnions toisant nos voisins de haut dès qu’on abordait des thématiques se rapportant à la qualité de notre enseignement au sein des universités, des établissements secondaires et des écoles primaires. Nous avons été l’un des premiers jeunes pays fraîchement indépendants à avoir consacré le tiers de son budget à l’éducation. Ce choix avait, à l’époque, laissé perplexes plus d’un et pantois des pays qui nous avaient pourtant précédés sur la voix de l’autonomie et de l’indépendance.
On croyait dur comme fer que la seule arme d’un pays aux ressources naturelles modestes était le savoir. La preuve, les diplômes tunisiens étaient reconnus à l’international et les compétences tunisiennes se vendaient à prix d’or. Ne nous leurrons pas, les compétences tunisiennes ne sont plus ce qu’elles étaient et celles que nous voyons aujourd’hui rayonner dans le monde font souvent partie des générations des cinquantenaires et dans le meilleur des cas des quadragénaires. Celles qui ont échappé aux différentes réformes de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur, celles qui maîtrisaient parfaitement l’arabe et le français et qui sont le produit d’universitaires formés à l’international et nourris de l’expertise, de la qualité de formation et du savoir-faire des universités européennes. Ces universitaires ont instruit des générations de compétences de haut niveau qu’on nous enviait et nos universités étaient sollicitées par nombre d’étudiants en provenance de pays arabes et africains.
Qu’en est-il aujourd’hui ?
Nous n’existons pas dans le classement de Shangaï 2009 des 500 meilleures universités dans le monde, en fait, sommes nous seulement classés ? la seule université arabe qui figure dans ce classement est l’université du Roi Saoud en Arabie Saoudite de même que l’université de Téhéran.
L’Inde compte deux universités dans ce classement, une au top 400 en plus d’une deuxième au top 500.
Mais faire partie des 500 meilleures universités dans le monde est peut être trop prétentieux de notre part…qu’en est t-il de l’Afrique ? Dans le classement du top 100 des universités africaines, seuls deux établissements supérieurs figurent, la nouvelle université virtuelle et l’Ecole supérieure privée d’ingénierie et de technologie occupant respectivement les 60ème et 50ème positions.
Les universités arabes ? L’Egypte tout d’abord, dont l’Université américaine occupe la 9ème place et l’Université du Caire la 13ème. C’est ensuite au tour du Maroc dont l’université «Abdelmalek Assaadi» figure en 16ème position, de nouveau l’Egypte avec en 27ème position «l’Arab Academy For Science and Technologie and Maritime Transport» et Ain Shams University, 28ème en plus de Mansoura University, classée 31ème.
L’école marocaine Mohammadia d’ingénieurs est 29ème et Al Akhawayn Ifrane toujours marocaine 30ème. L’Algérie se place respectivement en 36ème et 43ème position grâce aux universités Abou Bekr Belkaid de Tlemcen et l’Université de Batna.
Il est peut-être temps pour nous Tunisiens de re-réfléchir ou repenser nos politiques en matière d’enseignement et d’arrêter de jouer aux autruches. La qualité de l’enseignement dans notre pays n’est plus ce qu’elle était. Et ce ne sont pas les bataillons des diplômés du supérieur demandeurs d’emplois qui prouvent que nos politiques sont pertinentes. Diplômés dont beaucoup ont intégré la phase du chômage longue durée… On l’a compris, il ne s’agit pas de quantité mais plutôt de qualité. Il ne s’agit pas de consacrer des sommes colossales à la recherche sans en récolter les fruits ou peu.
Selon une étude de la Banque mondiale publiée en 2008, les diplômés des filières courtes supposées posséder une plus forte employabilité sont en fait les plus exposés au chômage. Les sortants des Instituts supérieurs d'études technologiques (ISET) sont légèrement avantagés par rapport aux techniciens supérieurs issus des autres institutions d’enseignement supérieur.
68% du chômage touche les maîtrisards des spécialités juridiques (gestion, finances, droit). Le groupe des spécialités liées à l'agriculture et à l’agroalimentaire se distingue avec des taux de chômage nettement plus élevés (plus de 70% pour les techniciens supérieurs et plus de 31% pour les ingénieurs dans les filières techniques).
Mieux aligner l’offre de compétences avec les besoins de l’économie est l’une des principales recommandations de l'étude. Globalement, les résultats de l’enquête montrent l’existence de déséquilibres importants entre l’offre et la demande de compétences en Tunisie. Le diplôme et la spécialité restent les principaux facteurs qui expliquent les perspectives d’insertion professionnelle.
L’étude recommande l’ajustement des flux d’étudiants qui suivent les différents diplômés/spécialités et l’alignement de l’offre de compétences avec les besoins de l’économie. Et lorsque nous parlons d’une plus grande valorisation de la culture entrepreneuriale au sein des universités, d’une plus grande adaptation des cursus universitaires aux besoins du marché du travail et même d’une refonte de toutes les catégories de l’enseignement dans notre pays dans le but d’améliorer son efficience par, entre autres -et ce n’est pas peu-, l’amélioration du niveau de certains formateurs et d’enseignants, c’est parce que nous réalisons que la réalité est devenue complètement coupée du discours.
Nous entendons à longueur de journée des discours se rapportant à la complémentarité entre l’enseignement et l’entrepreneuriat au sein des universités, aux Masters co-construits qui, du reste, sont applicables dans quelques rares institutions universitaires dont l’Institut de biotechnologie de Sidi Thabet.
Mais quelle est la dimension pratique de toutes les mesures prises ? Et quand est-ce que nous verrons leurs résultats sur le terrain. Nos entrepreneurs parlent de «diplômés sous-qualifiés», nos administrations insistent sur les efforts fournis en vue d’adapter l’université à la réalité économique…«J’estime qu’il existe deux problèmes fondamentaux, explique un professeur universitaire à la Faculté des Sciences de Tunis : d’une part, un tissu industriel et entrepreneurial arriéré, les entreprises ne respectent pas leurs engagements s’agissant des stages et même des Master-co-construits, et des enseignants qui ne font aucun effort pour améliorer la qualité de leurs prestations, arrivés au seuil du professorat, l’effort devient parfaitement absent, ils ne veulent ni s’améliorer ni se diversifier, ni se former, ils veulent tout juste se la couler douce… ».
- Le classement Shanghai a été lancé en 2003 par le président de l’Université Jiao Tong pour savoir quelles sont les meilleures universités dans le monde auxquelles il pourrait envoyer ses étudiants.
- Document : http://africdossier.oldiblog.com/?page=lastarticle&id=2036961 ou http://infopagecongo.oldiblog.com/?page=lastarticle&id=2036959
- Nombre d’établissements universitaires publics : 192
- Nombre d’établissements universitaires privés : 32
- Nombre d’étudiants dans les établissements privés : 4.000
- Nombre d’étudiants :370.000 (36,2% de la tranche d’âge 19-24 ans)
- Taux de filles : 59,9%
- Nombre d’étudiants de 3ème cycle : 33.800
- Nombre de diplômés en juin 2008 : 60.613
- Taux national de réussite juin 2008 : 71.3%
- Nombre de diplômés en TIC : 9.568
- Nombre d’ingénieurs des universités publiques TN juin 2008: 3.793
- Nombre d’enseignants : 19.500
- Nombre de chercheurs Equivalent Plein Temps : 15.833
- Nombre de pépinières d’entreprises : 31 réparties dans 20 gouvernorats
- Nombre de laboratoires de recherche :146
- Nombre d’unités de recherche : 638
- Nombre de centres de recherche : 32
- Nombre de conventions de codiplôme : 31
- Nombre de conventions de cotutelle de thèses : 1867
Enquête auprès des chercheurs, des responsables de structures de recherche et des entreprises économiques dans le cadre de mise en place de l’APRICE |
Le gouvernement Tunisien a décidé de créer une Agence de Promotion de la Recherche, de l’Innovation et de la Création d’Entreprises innovantes (APRICE).Cette Agence sera une structure relais entre le système national de recherche et le tissu économique et favorisera la structuration du système national d’innovation. La définition exacte de ses missions, de ses fonctions ainsi que son organisation fait l’objet d’une étude avec l’appui du Programme de Modernisation Industrielle, programme financé par l’Union Européenne. |
On apprend dans une dépêche du Ministère des Technologies de la communication un accord de partenariat entre la Tunisie et Microsoft a été conclu.
Plus précisément, cet accord a eu lieu lors des travaux du forum des responsables de gouvernement africains, organisé par Microsoft à Cap Town (Afrique du Sud), (10 et 11 juillet 2006), et cela en présence de Bill Gates, de l'ambassadeur de Tunisie en Afrique du Sud et de Khadija Ghariani, secrétaire d'Etat chargée de l'informatique, de l'Internet et des logiciels libres.
De même source "en vertu de cet accord, un soutien sera apporté aux secteurs public et privé afin de développer la compétitivité des entreprises actives dans le domaine, l'objectif étant de renforcer la complémentarité entre les deux secteurs et d'améliorer la compétitivité des entreprises nationales".
Rappelons que depuis 6 ans Microsoft Tunisie, à l’époque sous la direction de Fayçal Bouchlaghem, négociait avec le gouvernement tunisien.
Contacté sur le sujet, Salwa Smaoui, directeur général de Microsoft Tunisie, nous précise qu’un accord, sur cinq ans, visant à soutenir le développement de la technologie de l’information de partenariat a été signé entre notre pays et Microsoft. Ce partenariat débute sur deux grands axes. Le programme phare "Innovation Center" est un laboratoire de recherche, de développement et d’innovation où peuvent être testées les dernières technologies de Microsoft. Le but de ce centre est de participer à la création des technologies adaptées au tissu économique de la société locale.
Dans un autre volet, l’accord stipule l’accompagnement de l’industrie de l’information de bout en bout jusqu’à l’exportation. Microsoft Tunisie s’engage à apporter notamment un support technologique, commercial et marketing aux entreprises tunisiennes du secteur du logiciel.
Par ailleurs, Nasser Kettani, directeur général de Microsoft Afrique du Nord, rajoute que l’enjeux porte plus que sur un simple accord sur le prix global des produits de Microsoft mais plutôt sur l’esprit du partenariat et la relation de confiance établi entre le gouvernement tunisien et Microsoft.
décisive de la recherche scientifique et de linnovation technologique 7 Mai 2005
Les centres de recherche hissés au rang détablissements à caractère scientifique et technologique en vue dune plus grande souplesse dans la gestion
Augmentation des subventions allouées aux laboratoires et création dun système de gestion par objectifs
Institution dun statut particulier des ingénieurs chercheurs et des chercheurs à plein temps
Création dun observatoire national des sciences et des technologies pour assurer la veille et le suivi
Elaboration dune stratégie pour attirer les compétences tunisiennes à létranger et généraliser la culture scientifique chez les jeunes
Le Président Zine El Abidine Ben Ali a présidé, hier matin, un Conseil ministériel consacré à lexamen du dossier de la recherche scientifique et de linnovation technologique.
Le Conseil a passé en revue les acquis et réalisations accomplis dans ce secteur, ainsi que ses perspectives davenir, à la lumière des orientations et objectifs fixés dans le programme électoral, à leffet de le promouvoir davantage et de valoriser ses résultats dans des applications liées au développement, et de ladapter aux mutations internationales.
Dans ce contexte, le Conseil a décidé une série de mesures dont notamment :
Actualisation de la loi dorientation sur la recherche scientifique.
Révision du statut administratif des centres de recherche pour les élever au rang détablissements à caractère scientifique et technologique, dans le but de conférer davantage de souplesse à la gestion des crédits consacrés à la recherche scientifique.
Augmentation des subventions allouées aux laboratoires et institution dun système de gestion par objectifs.
Etendre aux unités de recherche le système dévaluation en vigueur actuellement dans les laboratoires.
Assurer lintégration des technologues dans les unités et les laboratoires de recherche, à leffet de promouvoir la recherche scientifique industrielle.
Institution dun statut particulier des ingénieurs chercheurs et dun statut particulier des chercheurs à plein temps.
Inclure les brevets déposés parmi les critères de promotion des chercheurs et des universitaires.
Création dagences régionales pour la promotion de la recherche, de linnovation et de la création dentreprises en vue de renforcer le partenariat entre le secteur de la recherche et les entreprises industrielles.
Création dun observatoire national des sciences et des technologies en tant que mécanisme de veille pour assurer le suivi des progrès et des innovations technologiques dans le monde.
Dans le souci de mettre à contribution toutes les compétences et de réunir les conditions propices à lencouragement de la recherche et de linnovation, le Président de la République a ordonné lélaboration dune stratégie pour attirer les compétences tunisiennes à létranger, généraliser la culture scientifique chez les jeunes générations, notamment dans les programmes qui leur sont destinés, et sintégrer davantage dans les réseaux mondiaux de lintelligence.
1st International E-Business Conference
Cercle dEtudes et de Réflexion Prospective sur lEntreprise C.E.R.P.E
Dans le cadre des préparatifs du deuxième sommet mondial sur la société de linformation, la 1ère Conférence
Internationale sur lE-Business sera organisée du 23 au 25 juin 2005 à Hammamet par :
- Le réseau Euro-méditerranéen MEDFORIST,
- LIstitut Supérieur de Gestion de Tunis (ISGT),
- LAssociation Tunisienne des Sciences du Management (TMSS),
- Le Cercle dEtudes et de Réflexion Prospective Pour lEntreprise (CERPE),
- Le laboratoire de modélisation statistique et de prévision des systèmes économiques (BESTMOD),
Lobjectif de cette conférence est la présentation des dernières technologies, concepts et pratiques de lEBusiness
et lexploration de ses perspectives. Les défits auquels le secteur est confronté tant du point de vue
technologique et applicatif que celui lié aux aspects sociaux et juridiques seront aussi au centre des débats.
Des chercheurs et des professionnels de plusieurs pays viendront participer aux conférences, ateliers, tables
rondes et tutoriaux organisés dans le cadre de la rencontre pour enrichir les débats sur des sujets divers tels que
le commerce électronique, les services en ligne, lenseignement à distance, le-marketing etc.
Les thèmes abordés par cette conférences :
Participe à cette conférence :
- Les chercheurs dans les domaines des réseaux, des systèmes informatiques, la gestion, le traitement des
données...
- Les professionnels intéressés par le sujet de la conférence
- Les institutions et les organisations intéressées par lE-Business
- Les étudiants en informatique, en économie, en marketing ou tout autre filière ayant une relation avec
léconomie virtuelle
- Le public intéressé.
E-Business :
Développement de lE-Business
Lorganisation future, les technologies et les applications de lE-Business
Analyse des données et les systèmes de décision
Intranet et extranets de lE-Business
Difficultés de lE-Business
Communication et technologies réseaux
Commerce électronique :
Cas pratiques de commerce électronique
Le commerce électronique orienté client
Les solutions logicielles du commerce électronique
Les stratégies et limplantation du commerce électronique
Les modèles daffaires du commerce électronique
Le commerce électronique mobile
Les aspets sociales du commerce électronique
Les systèmes daide à la décision dans le commerce électronique
Les systèmes dinformation orientés web
La confiance, le respect de vie privée et la sécurité dans le commerce
électronique
Le rôle des agents intelligents dans linteraction homme-machine et le
commerce électronique
La réalité virtuelle dans le commerce électronique
Les applications des systèmes experts, de la logique floue, des réseaux
neuronaux et de la programmation évolutive dans le commerce électronique
La modélisation du client dans le commerce électronique
Le commerce électronique mobile
Les tendances passées, actuelles et futures de léconomie virtuelle
Les systèmes daide à la décision dans léconomie électronique
Les conséquences du commerce électronique dans la finance, léconomie et
lévolution des marché
Le commerce électronique dans les pays méditerranéen
Services en ligne :
Les technologies des agents intelligents et lanalyse des données dans les
services en ligne
La qualité dans les services en ligne
Les techniques daudit des services en ligne
Lenseignement à distance :
Lapprentissage collaboratif
La conception et le développement du contenu
Lenvironnement denseignement virtuel
Les communautés virtuelles
E-marketing :
Les solutions ASP de markting et les occasions de dévelppement
Les magasins virtuels
Le conseil et la publication en ligne
Lachat en ligne
Sciences de l'Informatique et Technologies de Communication
Les Instituts Publics de Recherche
Centre d'Etudes et des Recherches des Télécommunications (CERT)
Adresse : 42, Rue Asdrubal - 1002 Tunis
Tél. : 71 790 877
cert@cert.mincom.tn
Les Laboratoires de Recherche
Informatique, parallélisme et productique
Faculté des Sciences de Tunis - 1060 Tunis
Tél. : 71 882 099
Réseau Image Système Architecture et Multimédia
Ecole Nationale des Sciences de l'Informatique - 2010 Manouba
Tél. : 71 600 444
Systèmes de Communication
Ecole Nationale d'Ingénieurs de Tunis - B.P 37 - 1002 Tunis
Tél. : 71 874 700
Electronique des Technologies de l'information
Ecole Nationale d'Ingénieurs de Sfax
Route de Soukra, Km 3 - 3038 Sfax
Tél. : 74 274 088
Informatique Arabisé et Documentique Intégrée et Génies Documentiel et Logiciel
Ecole Nationale des Sciences de l'Informatique - 2010 Manouba
Tél. : 71 600 775
Electronique et micro-électronique
Faculté des Sciences de Monastir - 5016 Monastir
Tél. : 73 500 275
Les Unités de Recherche
Programmation algorithmique et heuristique
Faculté des Sciences de Tunis
Campus Universitaire - 1060 Tunis
Téls : 71 872 600 / 71 872 020
Technologie de l'information et de
Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de Tunis
5, Avenue Taha Hsin - 1008 Tunis
Tél. : 71 496 066
Informatique (LARIS)
Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Sfax
Route de l'aéroport, Km 3,5 - 1018 Sfax
Tél. : 74 278 777
Traitement Informatique du Lexique
Faculté des Lettres de Manouba - 2010 Manouba
Téls : 71 600 700 / 600 813
Informatique et Multimédia (LARIM)
Institut Supérieur d'Informatique et du Multimédia de Sfax
Route El Meharza km1.5 - BP n° 1030 - 3018 Sfax
Téls : 74 452 632 / 74 242 870
Réseau de télécommunication et de sécurisation
Ecole Supérieur des communications de Tunis
Route de Raoued km 3.5 - Ariana - 2080
Téls : 71 856 311 / 71 857 499
Imagerie satellitaire et ses applications
Ecole Supérieure de Communication de Tunis
Route de Raoued km 3.5 - Ariana - 2080
Téls : 71 856 311 / 71 857 499
Stratégie d'optimisation de l'ingénierie des informations et de la connaissance
Institut Supérieur de Gestion de Tunis
41, Rue de
Téls : 71 560 378 / 71 564 729
Pole de Recherche en Informatique du Centre (PRINCE)
Institut Supérieur d'Informatique et des Techniques de Communication de Hammam Sousse
Route principale n°1 - 4011 Hammam Sousse
Tél.: 73 364 410
Les machines Intelligentes (REGIM)
Ecole Nationale d'Ingénieurs de Sfax
Route de Soukra, Km 3 - 3038 Sfax
Tél. : 74 274 088
Société du Savoir Alors quil ne tarit pas déloges sur les pas franchis par la Tunisie dans son ambition de se configurer en Société du Savoir, M. Bruno Lanvin, Conseiller de la Banque mondiale pour les questions de e-stratégies, estime que nous devrions porter une attention toute particulière à 3 éléments qui risquent de ralentir notre élan.Cest à la faveur du Symposium des Anciens de lENA, qui a ouvert ses travaux ce vendredi sous le Haut patronage du Chef de lEtat à Hammamet, que M. Lanvin a présenté ses réflexions sur les leçons à tirer de lexpérience internationale en matière de e-stratégies et de e-gouvernement. Selon lui, notre pays est digne de respect en ce quil a décidé de sengager sur le chemin des technologies de linformation et de la communication, rappelant que la mondialisation na pu progresser malgré les crises financières qui ont frappé diverses régions du monde à partir de 1997 que parce que la technologie en est devenue le moteur. La tendance se poursuit avec la hausse permanente du pourcentage de la population disposant dun accès en ligne, du nombre de nuds Internet par habitant et du nombre de serveurs sécurisés par habitant.
Le résultat, cest quil nest plus question de choix. Simplement, on est «in» ou on est «out». Et, quand on prend le parti dêtre «in» comme la Tunisie, il faut se remettre constamment en question pour maintenir lélan davancer. Prenant pour modèle la Knowledge Assesment Methodology de la Banque mondiale, M. Lanvin souligne quil existe 14 référentiels dévaluation dans ce domaine de la Société du Savoir : taux de croissance, développement humain, enseignement, cadre réglementaire, nombre dordinateurs, lignes téléphoniques, internautes
Parmi ces référentiels, la Tunisie devrait poser un regard nouveau sur 3 dentre eux :
Trois fragilités dont lidentification constitue déjà la moitié du chemin. La seconde moitié constitue une autre paire de manches. Car, si les obstacles commerciaux sont en train dêtre levés progressivement par les pouvoirs publics conformément à nos engagements internationaux, les deux autres facteurs sont directement tributaires du brio de nos chercheurs et de nos universitaires. Alors, à vos laboratoires messieurs-dames ! Réseau « fédère » de la recherche 1-04-2005 Le Ministère de la Recherche Scientifique, de la Technologie et du Développement des Compétences se propose d'acquérir des équipements informatiques pour le Centre de Calcul de le Technopole de Borj-Cedria et des stations de calcul scientifique pour le réseau de la recherche scientifique AON n° 03/2005. Les équipements en question se composent de plusieurs lots, dont :- Un super calculateur et une unité de stockage- 5 stations de calcul monoprocesseur- 4 stations de calcul bi-processeurLa date limite de remise des offres est fixée au 14 avril 2005, sachant qu'il s'agit d'une relance d'un projet de 2004. Il faut noter que le Ministère RSTDC réalise un réseau ambitieux et ce , en connectant l'ensemble des structures de recherches, laboratoires et technopoles en un réseau fédéré. En outre le MRSTDC a réalisé plusieurs schémas directeurs en informatique, afin d'exprimer les besoins et de fixer un cadre de développement des systèmes d'informations des unités de recherches et laboratoires. Il faut noter que les TIC occupent une place de choix dans ce Ministère et que la stratégie adoptée, se met rapidement en place, malgré les freins administratifs, dues à la procédure qui oblige de fractionner et de diviser les besoins.