7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 21:45

Microsoft a des plans bien précis pour ajouter Office Web Apps à sa suite hébergée Business Productivity Online Standard Suite (BPOS), mais ne fournit pas de calendrier précis quant à son intégration.

 

Sans ces applications, BPOS reste à la traîne derrière ses autres concurrents, notamment les Google Apps qui offrent par défaut des applications de productivité bureautique avec la suite collaborative et d'échange cloud. « Nous allons certainement davantage parler des Office Web Apps comme élément de la suite BPOS et des futures fonctionnalités que cela apporte », a déclaré Betsy Webb, directeur général de la division Microsoft Online Services.

Les Office Web Apps donnent accès à des versions hébergées  de Word, Excel, Powerpoint et OneNote, relativement similaire à la suite connue sur PC. Considérés comme des « compagnons en ligne » par la firme de Redmond, ces services sont conçus pour permettre aux utilisateurs « d'accéder, d'afficher et de modifier » des documents via un navigateur web. À l'heure actuelle, Office Web Apps est disponible gratuitement pour les particuliers dans le cadre des services en ligne Windows Live. Elles sont aussi livrées avec la suite gratuite de communication et de collaboration Live@edu réservée à l'éducation. Les Office Web Apps, recensant environ 20 millions d'utilisateurs, sont également accessibles aux entreprises qui disposent des versions desktop d'Office ou de SharePoint 2010.

Toujours selon Betsy Webb, l'absence des Office Web Apps au sein de BPOS n'a pas eu de conséquence quant à l'adoption de la suite par les entreprises, qui inclut Exchange Online, Office SharePoint Online et Microsoft Office Live Meeting. « Le nombre de postes BPOS a plus que triplé depuis le début de l'année 2010, » a-t-elle affirmé, sans dire précisément combien de licences avaient été vendues au total. « Il y a 40 millions de postes Microsoft Online Services payés, et le BPOS en fait partie, » souligne-t-elle. La firme de Redmond a mis en avant ses gros clients convaincus par le BPOS, dont Volvo (18 000 utilisateurs), Du Pont (58 000 utilisateurs), l'Australie Spotless Group, Sunoco et Godiva.

Les analystes sous le charme


« Microsoft a créé une bonne dynamique pour favoriser l'adoption de son BPOS, mais il est loin d'être le seul, » a reconnu Michael Osterman, analyste chez Osterman Research. « De toute évidence Microsoft réussit très bien avec BPOS. L'entreprise a gagné une impressionnante clientèle et semble poursuivre dans son élan sur le secteur professionnel - gouvernement compris - et dans l'éducation, » a t-il ajouté. «Cela dit, Google gagne aussi du terrain avec ses Apps, LotusLive se porte bien, et Cisco devrait assez bien s'en tirer avec WebEx Mail quand il sera disponible», a t-il déclaré. « L'utilisation d'applications en mode Software-as-a-Service (SaaS) pour les échanges et la collaboration en environnement de travail est une friche en plein développement, et on peut s'attendre à une croissance exponentielle de ces services dans les prochaines années, même si la plupart des déploiements continuent à se faire sur site, » a-t-il expliqué. Pour Rebecca Wettemann, analyste chez Nucleus Research, « l'avantage de Microsoft, repose sur la popularité de ses interfaces et de ses outils logiciels, déjà présents dans de nombreuses entreprises, sans compter les passerelles existantes entre son Cloud et les logiciels sur site, » a-t-elle estimé. « Je pense que les entreprises qui cherchent à passer à un environnement collaboratif plus efficace considèreront l'offre mixte de Microsoft comme un vecteur de croissance, en raison aussi de son expérience dans les services collaboratifs en milieu professionnel, » a-t-elle ajouté.

Matthew Cain, analyste chez Gartner, fait remarquer que « le marketing de Microsoft a été particulièrement agressif pour vanter son BPOS, le faisant notamment adopter au moment du renouvellement de nombreux contrats d'entreprise». Il ajoute que « l'éditeur a profité de la forte demande en services cloud pour imposer son BPOS, ». « L'inconvénient, c'est que le BPOS est toujours basé sur la famille de produits 2007, » précise-t-il, ajoutant que Gartner s'attend à une mise à jour du BPOS vers les versions 2010 au début de 2011.

Microsoft a également rendu public le nom de nouveaux clients pour Live@edu, dont plusieurs écoles du California State University, l'Université du Montana, la Northern Kentucky University, le Collège of DuPage, la Washington University de St. Louis et l'Université d'Aston au Royaume-Uni. Au total, plus de 10 000 institutions scolaires et plus de 11 millions d'utilisateurs finaux ont accès à Live@edu, qui inclut Office Web Apps, Windows Live SkyDrive et Outlook Live.

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17 septembre 2010 5 17 /09 /septembre /2010 00:03

La Tunisie participe pour la 2e année consécutive avec 11 opérateurs, privés 6 et publics, au salon E-commerce Paris 2010


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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 23:19

Au classement 2010 des meilleures universités au monde, réalisé annuellement par l’Université de Shanghai, l’Université de Sousse, la première en Tunisie, arrive à la… 6719e place. Ce classement n’est pas digne d’un pays qui a opté un modèle de développement porté par l’innovation et la technologie.


L’Université de Sousse est suivie par les universités Tunis El Manar (6729e), de Sfax (6996e), 7-Novembre de Carthage (7190e), de Monastir (7340e), de Tunis (7365e), de Gabès (7395e), La Manouba (7560e), Ez-Zitouna (7791e), de l’Université Libre de Tunis, le seul établissement privé figurant au classement (8408e), de Kairouan (8541e), de Gafsa (8645e) et de Jendouba (8887e), qui ferme la marche.

Les dernières au Maghreb?
étudiantsAutant que cette place peu honorable des universités tunisiennes, ce qui gêne également dans ce classement, ‘‘The 2010 Academic Ranking of World Universities (Arwu)’’, c’est le fait que la première université tunisienne, celle de Sousse en l’occurrence, soit précédée, en Afrique du Nord (pour ne prendre que cette entité géopolitique), par 22 universités égyptiennes, 14 marocaines, 23 algériennes, 3 soudanaises, 2 libyennes et 1 mauritanienne.   
En effet, l’Egypte place 22 universités (sur les 32 que compte le pays) avant leurs homologues tunisiennes, les trois premières étant l’Université américaine du Caire (466e), l’Université du Caire (647e) et Mansoura University (975e).
Le Maroc, pour sa part, place 14 universités (sur 26) avant les Tunisiennes, la première étant Cadi Ayyad University (1359e).
Idem pour l’Algérie, qui place 23 universités (sur 46) avant les Tunisiennes, la 1ère étant l’Université Abou Bekr Belkaid de Tlemcen (3509e rang).
Il en est de même pour le Soudan, dont 3 universités précèdent les Tunisiennes, la première étant l’Université de Khartoum (3363e).
Pis encore: deux universités libyennes (sur 15) font de meilleurs scores que les Tunisiennes: l’Université de Garyounis (4389e) et Alfateh University (6298e). Et en Mauritanie, l’Université de Nouakchott, l’unique du pays, parvient à surclasser les Tunisiennes (5386e).

Des critères de recherche en sciences exactes
Ce classement, créé en 2003 pour établir une comparaison entre les universités chinoises et leurs homologues européennes et américaines, se fonde essentiellement sur des critères de recherche en sciences exactes. C’est la raison pour laquelle il reste écrasé par les universités américaines: Harvard conserve sa première place depuis 2003, Berkeley (University of California) a en revanche ravi la deuxième place à Stanford. Au-delà du trio de tête, les universités américaines confisquent 54 des 100 premières places (et 17 des 20 premières places).
Si, cependant, aucune université africaine ou arabe ne figure parmi les 200 premières du classement Shanghai, quatre établissements supérieurs du Moyen-Orient sont parmi les 500 meilleures. Il s’agit de l’Université du Roi Saoud à Riyad et l’Université du Roi Fahd du pétrole et des minéraux (Arabie Saoudite), de l’Université d’Istanbul (Turquie) et de l’Université de Téhéran (Iran).
Il convient cependant de souligner que ce classement de Shanghai est fortement critiqué, notamment en raison des critères de classement adoptés. Ces critères sont le nombre de prix Nobel et de médailles Fields parmi les anciens élèves (10%), le nombre de prix Nobel et de médailles Fields parmi les chercheurs (20%), le  nombre de chercheurs les plus cités dans leurs disciplines (20%), les articles publiés dans ‘‘Nature et Science’’ entre 2000 et 2004 (20%), les articles indexés dans ‘‘Science Citation Index’’ et ‘‘Arts & Humanities Citation Index’’ (20%) et la performance académique au regard de la taille de l’institution (10%).
Dans ces critères n’apparaissent malheureusement pas certaines orientations jugées prioritaires dans certains pays comme la formation supérieure des cadres, des ingénieurs et des gestionnaires pour les milieux socio-économiques ou les sciences humaines et sociales. Les secteurs de l’ingénierie et du management, l’ouverture sociale et l’innovation technologique sont peu pris en compte dans ces critères. Les sciences humaines n’y trouvent pas encore leur place: c’est là d’ailleurs la première critique formulée à l’encontre de ce classement, qui braque ses regards sur les prix Nobel et les publications.
On comprend, dès lors, qu’un petit pays comme Israël parvienne à placer l’un de ses établissements, l’Université hébraïque de Jérusalem, à la 72eplace. Les professeurs et les diplômés de cette université comprennent de nombreux prix Nobel en sciences et en économie.

Un classement très relatif

Nian Cai Liu, le concepteur du classement, admet d’ailleurs que celui-ci reste tout à fait relatif. «Un classement est juste une source d’information parmi d’autres. Les universités devraient toujours considérer d’autres types d’évaluation et d’analyses, dans la mesure du possible, comme les études de benchmark ou la réputation des pairs… et aussi des rankings constitués avec d’autres critères que le nôtre», a-t-il expliqué au site Educpros.
Mais une fois ces réserves faites, on doit néanmoins admettre que le classement des universités tunisiennes n’est pas acceptable. Au moment où le pays cherche à passer d’un modèle de développement porté par la production industrielle et le coût de la main d’œuvre à un modèle porté par l’innovation et la technologie, ce classement vient nous rappeler de manière brutale le chemin qui reste à faire pour mettre notre système éducatif en général et l’université en particulier au diapason des ambitions du pays.

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 22:44

Ou sont les Arabes, les Africains, les Tunisiens...?

Université de Harvard 1ere Classement de Shanghai
 
L’université de Harvard est de nouveau première au classement de Shanghai, le classement mondial des meilleures universités et des plus célèbres, d’après leurs prix reçus (Nobel…), leurs chercheurs nommés, leur nombre d’articles publiés dans les revues scientifiques… Découvrez les indices (Alumni, Award, HiCi, N&S, Pub et PCP) expliqués ainsi que le classement 2010-2011 ci-dessous :

Classement de Shanghai 2010 (Top 100)
  Score
Rang Universités Pays Alumni Award HiCi N&S PUB PCP Total
1 Harvard University Etats-Unis 100.0 100.0 100.0 100.0 100.0 69.2 100.0
2 University of California, Berkeley Etats-Unis 67.6 79.3 69.0 70.9 70.6 54.2 72.4
3 Stanford University Etats-Unis 40.2 78.4 87.6 68.4 69.7 50.1 72.1
4 Massachusetts Institute of Technology
(MIT)
Etats-Unis 70.5 80.3 66.8 70.1 61.4 64.5 71.4
5 University of Cambridge Angleterre 88.5 92.6 53.9 54.3 65.7 53.1 69.6
6 California Institute of Technology Etats-Unis 50.3 68.8 56.7 64.8 46.9 100.0 64.4
7 Princeton University Etats-Unis 56.4 84.8 61.1 43.3 44.3 65.5 60.8
8 Columbia University Etats-Unis 70.7 67.4 56.2 47.6 69.9 32.1 60.4
9 University of Chicago Etats-Unis 65.5 83.9 50.9 39.8 50.5 40.0 57.3
10 University of Oxford Angleterre 56.2 57.6 48.8 49.8 68.5 41.1 56.4
11 Yale University Etats-Unis 48.6 44.9 58.5 56.3 62.0 37.0 54.6
12 Cornell University Etats-Unis 42.3 51.1 54.3 49.9 59.5 38.1 52.6
13 University of California, Los Angeles Etats-Unis 27.2 42.6 56.9 49.2 75.1 31.2 52.2
14 University of California, San Diego Etats-Unis 15.1 35.8 60.2 54.6 65.1 37.9 50.0
15 University of Pennsylvania Etats-Unis 32.9 34.3 57.1 46.9 68.6 28.5 49.0
16 University of Washington Etats-Unis 24.4 31.7 53.9 51.6 72.5 28.1 48.7
17 University of Wisconsin – Madison Etats-Unis 36.5 35.4 51.9 40.2 66.1 25.7 46.4
18 The Johns Hopkins University Etats-Unis 43.6 32.1 42.0 49.4 64.0 27.2 46.0
18 University of California
San Francisco
Etats-Unis 0.0 40.1 53.4 51.8 60.7 33.6 46.0
20 The University of Tokyo Japon 33.3 14.1 42.0 52.0 80.4 34.5 45.9
21 University College London Angleterre 32.9 32.1 39.4 44.6 67.0 31.6 44.4
22 University of Michigan – Ann Arbor Etats-Unis 36.5 0.0 59.8 43.4 79.8 26.3 44.2
23 Swiss Federal
Institute of Technology Zurich
Suisse 34.1 36.1 36.3 43.6 53.6 47.1 43.4
24 Kyoto University Japon 33.7 34.7 38.1 36.0 67.6 31.0 43.1
25 University of Illinois at
Urbana-Champaign
Etats-Unis 35.4 36.5 42.6 37.1 58.6 27.8 42.6
26 The Imperial College of Science,
Technology and Medicine
Angleterre 17.7 37.2 41.4 36.9 62.3 33.0 41.9
27 University of Toronto Canada 23.8 19.2 38.8 38.3 80.3 27.9 41.8
28 University of Minnesota
Twin Cities
Etats-Unis 30.6 16.2 50.4 36.1 66.6 23.9 40.6
29 Northwestern University Etats-Unis 18.5 18.9 48.3 35.9 59.7 28.4 38.4
30 Washington University in St. Louis Etats-Unis 21.3 25.9 38.8 41.0 54.8 26.7 38.1
31 New York University Etats-Unis 32.4 24.4 40.7 36.2 54.4 22.4 37.8
32 University of California
Santa Barbara
Etats-Unis 16.0 35.1 42.0 33.3 42.6 37.3 37.1
32 University of Colorado at Boulder Etats-Unis 14.1 30.7 38.8 41.7 44.7 33.5 37.1
34 Rockefeller University Etats-Unis 19.2 58.4 28.8 42.3 21.0 35.6 36.7
35 Duke University Etats-Unis 17.7 0.0 45.8 42.2 62.0 24.4 35.3
36 University of British Columbia Canada 17.7 18.9 32.2 30.8 65.7 23.7 34.7
36 University of Maryland
College Park
Etats-Unis 22.0 19.9 41.4 29.0 53.6 26.2 34.7
38 The University of Texas at Austin Etats-Unis 18.5 16.6 46.1 28.4 54.4 24.7 34.5
39 Pierre and Marie Curie
University – Paris 6
France 34.8 23.5 24.9 28.8 59.9 21.9 34.2
40 University of Copenhagen Danemark 26.1 24.1 26.0 26.0 56.4 32.3 33.4
41 University of North Carolina at
Chapel Hill
Etats-Unis 10.7 16.2 39.4 27.7 60.6 23.9 33.3
42 Karolinska Institute Suede 26.1 27.2 31.4 20.5 49.9 38.1 33.2
43 Pennsylvania State University
University Park
Etats-Unis 11.9 0.0 46.6 37.4 56.1 23.2 32.6
44 The University of Manchester Angleterre 23.2 18.9 27.9 28.0 59.1 23.1 32.4
45 University of Paris Sud
(Paris 11)
France 31.7 46.0 12.5 20.8 49.9 23.6 32.3
46 University of California, Davis Etats-Unis 0.0 0.0 47.2 31.7 63.0 26.0 32.0
46 University of California, Irvine Etats-Unis 0.0 29.3 36.7 26.3 49.3 26.9 32.0
46 University of Southern California Etats-Unis 0.0 26.7 38.8 26.3 53.1 20.0 32.0
49 The University of Texas
Southwestern Medical Center at
Dallas
Etats-Unis 20.6 33.1 30.5 29.9 38.4 23.5 31.8
50 Utrecht University pays-bas 26.1 20.9 27.9 30.4 48.2 26.1 31.7
51 University of Zurich Suisse 10.7 26.7 26.4 28.7 50.6 27.0 31.2
52 University of Munich Allemagne 31.5 22.8 16.1 26.3 54.5 30.7 31.1
53 Vanderbilt University Etats-Unis 17.7 29.5 31.4 20.2 50.8 19.1 31.0
54 Rutgers, The State University of
New Jersey New Brunswick
Etats-Unis 13.1 19.9 40.1 27.9 43.7 23.2 30.9
54 The University of Edinburgh Angleterre 19.2 16.6 26.0 34.2 51.3 23.9 30.9
56 Technical University Munich Allemagne 39.2 23.5 24.9 19.5 46.5 29.2 30.7
56 University of Pittsburgh Etats-Unis 21.3 0.0 42.0 23.4 63.1 19.0 30.7
58 Carnegie Mellon University Etats-Unis 32.9 32.7 30.5 15.2 34.2 34.3 30.2
59 The Australian National
University
Australie 15.1 12.6 36.0 27.8 43.8 31.1 29.6
59 The Ohio State University
Columbus
Etats-Unis 15.1 0.0 41.7 22.8 62.0 19.1 29.6
61 McGill University Canada 31.1 0.0 32.2 22.9 59.6 25.3 29.5
62 University of Melbourne Australie 19.9 14.1 22.8 18.7 63.1 27.0 29.3
63 King’s College London Angleterre 14.1 23.0 31.4 16.7 50.7 25.0 29.1
63 University of Heidelberg Allemagne 16.9 27.0 17.6 23.0 50.6 28.6 29.1
65 Brown University Etats-Unis 16.0 13.6 31.4 29.6 41.9 32.1 29.0
66 University of Bristol Angleterre 9.2 17.8 28.8 29.1 47.3 25.1 28.9
66 Uppsala University Suede 22.0 32.1 14.4 19.9 49.5 26.6 28.9
68 University of Florida Etats-Unis 19.2 0.0 36.7 20.6 63.9 17.5 28.8
69 Purdue University
West Lafayette
Etats-Unis 16.0 16.6 29.7 22.4 51.8 20.6 28.6
70 Leiden University Pays bas 21.3 15.4 27.9 19.9 47.8 32.4 28.4
71 Ecole Normale Superieure
Paris
France 50.8 24.4 12.5 18.7 27.9 56.7 28.3
72 The Hebrew University of
Jerusalem
Israel 31.5 19.9 24.9 20.8 41.6 26.5 28.1
72 University of Helsinki Finlande 16.0 17.8 22.8 20.6 52.7 28.2 28.1
74 Moscow State University Russie 46.8 34.1 0.0 9.6 52.4 31.2 27.9
75  Osaka University Japon 10.7 0.0 26.9 27.9 60.2 27.8 27.7
75 University of Oslo Norvege 22.0 33.3 17.6 13.5 46.6 24.3 27.7
77 Boston University Etats-Unis 13.1 11.5 29.7 24.7 50.0 19.3 27.3
78 University of Arizona Etats-Unis 0.0 0.0 29.7 37.5 52.1 21.6 26.8
79 Stockholm University Suede 25.0 29.5 16.1 20.4 37.5 24.2 26.4
79 Nagoya University Japon 24.4 14.1 16.1 24.3 48.1 26.1 26.4
81 Arizona State University – Tempe Etats-Unis 0.0 19.9 24.9 26.9 44.3 21.1 26.1
82 University of Rochester Etats-Unis 0.0 11.5 30.5 27.0 46.6 19.2 25.8
82 University of Utah Etats-Unis 28.2 8.9 26.9 20.6 43.3 21.9 25.8
84 Tohoku University Japon 16.0 0.0 21.6 20.8 60.3 27.4 25.7
84 University of Nottingham Angleterre 13.1 19.9 23.9 16.1 47.6 20.9 25.7
86 Michigan State University Etats-Unis 10.7 0.0 37.4 19.1 52.4 18.7 25.5
86 University of Basel Suisse 22.0 17.0 22.8 19.4 36.2 34.5 25.5
88 McMaster University Canada 14.1 18.9 22.8 14.8 47.3 22.8 25.2
88 The University of Sheffield Angleterre 19.9 14.1 21.0 21.3 44.3 22.6 25.2
90 Ghent University Belgique 7.5 15.4 17.6 15.1 54.4 30.4 25.1
90 Indiana University Bloomington Etats-Unis 11.9 22.7 24.9 18.5 39.9 19.6 25.1
92 University of Sydney Australie 16.9 0.0 20.4 18.4 61.4 25.1 25.0
93 University of Bonn Allemagne 16.9 19.9 14.4 23.3 42.5 24.3 24.9
93 University of Goettingen Allemagne 32.9 19.9 14.4 17.2 40.7 24.3 24.9
95 Texas A&M University
College Station
Etats-Unis 0.0 0.0 34.5 21.0 54.0 21.0 24.8
96 University of Virginia Etats-Unis 0.0 0.0 34.5 26.8 47.5 19.5 24.5
97 Case Western Reserve University Etats-Unis 34.5 11.5 21.6 14.3 41.9 22.7 24.3
98 University of Aarhus Danemark 13.1 18.9 7.2 23.5 48.4 25.4 24.2
99 Rice University Etats-Unis 18.5 21.8 21.6 18.8 30.2 29.6 24.0
99 University of Birmingham Angleterre 21.3 10.9 21.6 16.2 46.4 20.7 24.0
Classement de Shanghai 2010 pour les établissements français
Rang mondial Universités
39 Pierre and Marie Curie University – Paris 6
45 University of Paris Sud (Paris 11)
71 Ecole Normale Superieure – Paris
101-150 University of Paris Diderot (Paris 7)
101-150 University of Strasbourg
151-200 Joseph Fourier University (Grenoble 1)
151-200 University of Paris Descartes (Paris 5)
201-300 Claude Bernard University Lyon 1
201-300 Ecole Polytechnique
201-300 Industrial Physics and Chemistry Higher Educational Institution – Paris
201-300 Paul Sabatier University (Toulouse 3)
201-300 University of Montpellier 2
201-300 University of the Mediterranean (Aix-Marseille 2)
301-400 Henri Poincare University (Nancy 1)
301-400 University of Bordeaux 1
301-400 University of Nice Sophia Antipolis
301-400 University of Paris Dauphine (Paris 9)
301-400 University of Provence (Aix-Marseille 1)
401-500 Ecole National Superieure Mines – Paris
401-500 Ecole Normale Superieure – Lyon
401-500 University of Rennes 1
401-500 University of Versailles

 

Explications des crtières d’attribution des points :
Alumni. Le nombre total de diplômés et ceux qui ont remporté le prix Nobel et médailles Fields.

Award. Le nombre total des membres du personnel d’une institution remportant le prix Nobel de physique, chimie, médecine et économie et de la médaille Fields en mathématiques.

HiCi. Le nombre de chercheurs cités dans 21 catégories. Ces personnes sont les plus souvent cités à l’intérieur de chaque catégorie. La définition des catégories et des procédures détaillées peuvent être trouvées sur le site de Thomson ISI.

N & S. Le nombre d’articles publiés dans Nature & Science entre 2003 et 2007. Pour distinguer l’ordre de l’auteur d’affiliation, d’un poids de 100% est attribué à l’auteur d’affiliation, 50% pour le premier auteur affiliation (deuxième auteur d’affiliation si l’affiliation du premier auteur est le même que l’affiliation auteur), 25% pour le prochain auteur affiliation, et 10% pour les autres affiliations auteur. Seuls les publications de l’article type sont prises en compte.

PUB. Nombre total d’articles indexés dans Science Citation Index-Expanded et Social Science Citation Index en 2007. Seuls les publications de l’article type sont prises en compte. Pour le calcul du nombre total des articles d’une institution, d’un poids de deux articles a été introduit pour les indexées dans Social Science Citation Index.

PCP. Les scores pondérés des cinq indicateurs ci-dessus, divisé par le nombre d’équivalents temps plein du personnel académique.

 

Academic Ranking of World Universities in Computer Science (INFORMATIQUE) - 2010


World Rank Institution* Country   Alumni  Award   HiCi   PUB   TOP Total Score
1
Stanford University
UnitedStates.png
90.7 86.6 100.0 80.9 97.9 100.0
2
Massachusetts Institute of Technology (MIT)
UnitedStates.png
54.2 100.0 89.2 87.8 89.3 94.8
3
University of California, Berkeley
UnitedStates.png
100.0 96.8 42.9 76.7 86.1 82.7
4
Princeton University
UnitedStates.png
68.6 71.8 60.6 63.0 94.7 78.7
5
Carnegie Mellon University
UnitedStates.png
42.0 79.1 55.3 85.4 75.4 76.4
6
Cornell University
UnitedStates.png
42.0 57.3 55.3 57.3 85.5 67.9
7
University of Southern California
UnitedStates.png
0.0 39.5 65.5 68.4 86.8 66.6
8
The University of Texas at Austin
UnitedStates.png
42.0 39.5 55.3 70.4 77.2 66.3
9
Harvard University
UnitedStates.png
97.0 0.0 42.9 65.5 93.7 65.6
10
University of Toronto
Canada.png
24.3 53.0 49.5 71.1 78.3 65.5
11
California Institute of Technology
UnitedStates.png
59.4 0.0 60.6 46.8 100.0 63.0
12
Weizmann Institute of Science
Israel.png
54.2 72.9 49.5 37.0 78.6 62.8
13
University of Illinois at Urbana-Champaign
UnitedStates.png
42.0 0.0 49.5 81.7 81.5 62.5
14
University of Maryland, College Park
UnitedStates.png
0.0 0.0 60.6 81.5 84.9 61.9
15
Technion-Israel Institute of Technology
Israel.png
34.3 0.0 49.5 76.7 84.3 61.1
16
University of California, San Diego
UnitedStates.png
0.0 0.0 65.5 68.0 81.3 58.5
17
University of Oxford
UnitedKingdom.png
24.3 53.0 42.9 60.0 66.6 57.5
18
University of Michigan - Ann Arbor
UnitedStates.png
54.2 0.0 49.5 63.5 76.2 57.4
19
Purdue University - West Lafayette
UnitedStates.png
0.0 0.0 49.5 82.7 75.4 56.6
20
Columbia University
UnitedStates.png
0.0 0.0 49.5 61.5 95.3 56.2
21
The Hebrew University of Jerusalem
Israel.png
24.3 30.6 49.5 46.4 79.4 55.4
22
University of Washington
UnitedStates.png
0.0 0.0 49.5 62.7 89.6 55.0
23
UnitedStates.png
0.0 0.0 42.9 77.9 79.6 54.6
24
Swiss Federal Institute of Technology Zurich
Switzerland.png
24.3 53.0 0.0 72.8 85.3 54.4
25
University of California, Los Angeles
UnitedStates.png
42.0 0.0 35.0 66.4 80.5 54.1
26
The Hong Kong University of Science and Technology
HongKong,China.png
0.0 0.0 35.0 67.0 89.6 52.2
27
The Chinese University of Hong Kong
HongKong,China.png
0.0 0.0 35.0 75.5 79.0 51.6
28
National Taiwan University
Taiwan,China.png
34.3 0.0 24.7 74.7 74.0 51.0
29
University of British Columbia
Canada.png
0.0 0.0 35.0 62.1 89.8 50.9
30
University of Cambridge
UnitedKingdom.png
24.3 30.6 24.7 59.6 71.9 50.2
31
Tel Aviv University
Israel.png
42.0 0.0 22.6 62.0 79.2 49.2
31
Yale University
UnitedStates.png
34.3 0.0 42.9 44.5 79.6 49.2
33
University of Colorado at Boulder
UnitedStates.png
34.3 0.0 42.9 44.9 78.3 49.0
34
Duke University
UnitedStates.png
48.5 0.0 35.0 41.1 84.1 48.9
35
University of North Carolina at Chapel Hill
UnitedStates.png
0.0 61.2 0.0 50.8 89.8 48.3
36
National Chiao Tung University
Taiwan,China.png
0.0 0.0 24.7 80.1 72.1 48.2
37
University of California, Irvine
UnitedStates.png
0.0 0.0 35.0 61.3 80.3 48.1
38
The Ohio State University - Columbus
UnitedStates.png
0.0 0.0 42.9 56.7 76.2 47.9
39
Rutgers, The State University of New Jersey - New Brunswick
UnitedStates.png
0.0 0.0 49.5 51.8 72.8 47.4
40
University of Massachusetts Amherst
UnitedStates.png
0.0 0.0 63.1 49.2 59.1 46.7
41
University of Pennsylvania
UnitedStates.png
0.0 0.0 35.0 52.0 84.2 46.6
42
The University of Manchester
UnitedKingdom.png
0.0 0.0 24.7 66.2 78.9 46.3
42
University of Minnesota, Twin Cities
UnitedStates.png
0.0 0.0 30.3 58.5 81.0 46.3
44
University of California, Santa Barbara
UnitedStates.png
0.0 0.0 42.9 54.1 69.3 45.3
45
City University of Hong Kong
HongKong,China.png
0.0 0.0 0.0 83.7 81.6 45.1
46
National University of Singapore
Singapore.png
0.0 0.0 0.0 87.7 77.6 45.0
47
Ghent University
Belgium.png
0.0 0.0 24.7 67.1 72.7 44.8
48
University of Oslo
Norway.png
34.3 68.5 0.0 43.0 65.8 44.6
49
Brown University
UnitedStates.png
0.0 0.0 35.0 42.4 84.9 44.2
50
Northwestern University
UnitedStates.png
0.0 0.0 35.0 44.3 82.5 44.1
50
University of California, Davis
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 57.4 79.7 44.1
52-75
Arizona State University - Tempe
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 58.8 71.1
52-75
Eindhoven University of Technology
Netherlands.png
0.0 43.3 0.0 72.4 60.7
52-75
Korea Advanced Institute of Science and Technology
SouthKorea.png
0.0 0.0 24.7 72.7 60.0
52-75
Nanyang Technological University
Singapore.png
0.0 0.0 0.0 80.0 75.1
52-75
National Cheng Kung University
Taiwan,China.png
0.0 0.0 0.0 79.8 78.6
52-75
New Jersey Institute of Technology
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 46.2 82.5
52-75
New York University
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 48.4 81.1
52-75
Polytechnic University of Turin
Italy.png
0.0 0.0 49.5 46.7 57.6
52-75
Rice University
UnitedStates.png
0.0 0.0 49.5 36.3 71.2
52-75
Technical University Munich
Germany.png
0.0 0.0 35.0 53.9 68.2
52-75
The University of Edinburgh
UnitedKingdom.png
0.0 61.2 0.0 59.3 60.7
52-75
Tsinghua University
China.png
0.0 0.0 0.0 100.0 61.5
52-75
University of Alberta
Canada.png
0.0 0.0 24.7 62.0 74.1
52-75
University of Amsterdam
Netherlands.png
24.3 0.0 24.7 50.1 73.9
52-75
University of California, Santa Cruz
UnitedStates.png
0.0 0.0 55.3 38.1 61.5
52-75
University of Copenhagen
Denmark.png
24.3 68.5 0.0 41.1 60.6
52-75
University of Florida
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 61.9 74.8
52-75
University of Houston
UnitedStates.png
0.0 0.0 42.9 42.7 68.3
52-75
University of Illinois at Chicago
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 48.9 87.6
52-75
University of Montreal
Canada.png
0.0 0.0 24.7 59.9 64.8
52-75
University of Pittsburgh
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 47.4 76.0
52-75
University of Utah
UnitedStates.png
34.3 0.0 0.0 51.6 89.6
52-75
University of Virginia
UnitedStates.png
34.3 0.0 24.7 39.5 82.8
52-75
University of Wisconsin - Madison
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 54.5 78.3
76-100
Bar-Ilan University
Israel.png
0.0 0.0 24.7 40.3 72.6
76-100
Boston University
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 41.5 80.4
76-100
Catholic University of Leuven
Belgium.png
0.0 0.0 0.0 68.1 71.2
76-100
Harbin Institute of Technology
China.png
0.0 0.0 0.0 63.7 77.0
76-100
McGill University
Canada.png
0.0 0.0 17.5 51.0 75.7
76-100
Michigan State University
UnitedStates.png
0.0 0.0 17.5 41.3 77.2
76-100
National and Kapodistrian University of Athens
Greece.png
0.0 0.0 24.7 55.8 63.9
76-100
National Taiwan University of Science & Technology
Taiwan,China.png
0.0 0.0 0.0 65.1 72.3
76-100
North Carolina State University - Raleigh
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 51.6 70.1
76-100
Pennsylvania State University - University Park
UnitedStates.png
0.0 0.0 17.5 56.6 73.0
76-100
Shanghai Jiao Tong University
alt="China.png" />
0.0 0.0 0.0 84.5 61.4
76-100
Swiss Federal Institute of Technology of Lausanne
Switzerland.png
0.0 0.0 0.0 70.2 71.2
76-100
The Hong Kong Polytechnic University
HongKong,China.png
0.0 0.0 0.0 73.9 71.1
76-100
The University of Hong Kong
HongKong,China.png
0.0 0.0 17.5 54.9 73.3
76-100
The University of Tokyo
Japan.png
0.0 0.0 0.0 73.2 65.3
76-100
University of Arizona
UnitedStates.png
0.0 0.0 0.0 55.6 85.6
76-100
University of Bristol
UnitedKingdom.png
0.0 0.0 24.7 42.2 74.4
76-100
University of Calabria
Italy.png
0.0 0.0 24.7 39.3 75.3
76-100
University of California, Riverside
UnitedStates.png
0.0 0.0 24.7 38.4 76.5
76-100
University of New South Wales
Australia.png
24.3 0.0 0.0 58.2 72.5
76-100
University of Tennessee - Knoxville
UnitedStates.png
0.0 0.0 17.5 43.2 78.9
76-100
University of Waterloo
Canada.png
0.0 0.0 0.0 76.7 69.2
76-100
Utrecht University
Netherlands.png
0.0 0.0 42.9 38.7 56.2
76-100
Yonsei University
SouthKorea.png
0.0 0.0 0.0 63.3 73.7
76-100
Zhejiang University
China.png
0.0 0.0 0.0 78.4 65.3
* Institutions within the same rank range are listed alphabetically.
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3 septembre 2010 5 03 /09 /septembre /2010 17:58

En dépit du succès des blogs/wikis et réseaux sociaux internes, les canaux traditionnels de collaboration n'ont pas dit leur dernier mot. L'accroissement de la productivité reste un objectif clé.

L'e-mail, champion des usages collaboratifs

 

A l'heure où les réseaux sociaux internes d'entreprise, plates-formes de microblogging et wikis font plus que jamais parler d'eux, les derniers résultats de l'étude de Kelton Research commanditée par Avanade ne manquent pas de piment. Ainsi, ils montrent que les outils historiques de communication et de collaboration (e-mail, téléphone, espaces documentaires partagés...) sont loin d'être remisés au placard.

Au contraire même puisque l'e-mail arrive largement en tête (79%) des outils de communication / collaboration les plus fréquemment utilisés, devant le téléphone (63%) et les espaces documentaires partagés (45%). A l'inverse, on constate un taux d'usage inversement proportionnel à la modernité des outils : communautés en ligne, wikis et blogs sont utilisés au quotidien que pour respectivement 9%, 8% et 6% des répondants.

Les réseaux sociaux loin de répondre à tous les objectifs métiers

 

Afin de répondre à leurs objectifs métiers et faciliter leur travail au quotidien, plus des deux-tiers des personnes interrogées (69%) indiquent que la messagerie instantanée constitue un moyen très efficace d'y parvenir.  la proportion grimpe même à 78% au sein des individus exerçant une fonction de management intermédiaire mais chute à 55% pour celles dirigeants une activité dans une business unit.

En revanche, blogs et wikis sont à la traîne. Pour ces derniers, 42% des salariés appartenant au management intermédiaire pensent qu'ils jouent un rôle dans l'atteinte des objectifs métiers alors que seulement un responsable de BU sur cinq le pense.

Un réseau social pour caresser les salariés dans le sens du poil

 

Répondre aux attentes des employés et satisfaire à leurs envies. Tel est le premier bénéfice attendu de la mise en place d'un réseau social interne, devant celui de l'amélioration de la collaboration entre départements et du feedback employé. Un classement à prendre toutefois avec précaution, étant donné la proportion relativement faible du nombre de répondants. Sachant que près d'une personne interrogée sur cinq semble avoir du mal à identifier avec précision les bénéfices concrets, qualitatifs/quantitatifs aussi bien que financiers/non financiers à l'implémentation d'un réseau social.

Les technologies, précieuses adjuvantes de la collaboration

 

Si les outils collaboratif et de communication 2.0 sont encore loin d'équiper toutes les entreprises, ces dernières ne les dénigrent pas pour autant. Ces nouvelles technologies sont même très favorablement accueillies dans la mesure où près des deux-tiers des répondants indiquent qu'elles rendent la communication et la collaboration plus facile. A l'inverse, seule une minorité (5%) pense exactement le contraire. Pour autant, un tiers des répondants avance que ces technologies ne joue aucun rôle particulier dans l'optimisation de la collaboration dans l'entreprise.

 

Productivité et gains de temps en tête des leviers d'adoption

 

Les entreprises qui s'équipent en solutions de communication et/ou de collaboration ne le font pas pour la beauté du geste. Elles ont bien entendu une motivation profonde et chacune leur bonne raison de les mettre en place. Sans réelle surprise, c'est le désir d'accroissement de productivité qui arrive en tête des leviers d'adoption (64%), tout juste devant les gains de temps (63%). L'enjeu écologique, lui, semble être aux abonnés absents, sauf à considérer que la réduction des voyages (38% des répondants) puisse être directement rattaché à la stratégie de réduction d'empreinte carbone des entreprises.

Un retour sur investissement à géométrie variable

 

A l'instar de nombreuses solutions informatiques, les outils de collaboration / communication font également l'objet d'une étude de retour sur investissement. Pour autant, plus d'un répondant sur cinq précise que ce dernier n'a pas encore eu lieu depuis leur mise en place. Cependant, une majorité (38%) indique que cela a été le cas dans un délai maximal de deux ans suivant l'implémentation contre 25% au cours de l'année qui a suivie. A noter cependant que le ROI n'a été effectif  qu'au bout de trois ans pour un peu moins d'un répondant sur cinq.

Des craintes liées au manque de sécurité des données

 

La mise en œuvre d'un outil collaboratif n'apporte pas seulement son lot de bonnes nouvelles.  Ainsi, elle peut être confrontée au sein de l'organisation à certains blocages ou freins de nature variée. Parmi les principaux, l'étude de Kelton Research pointe des risques en matière de sécurisation des données personnelles (44%), devant un phénomène de perte de relation et de contact humain (37%). En revanche, les collaborateurs semblent avoir bien intériorisés le fonctionnement de ces outils, le manque de maturité vis à vis des nouvelles technologies n'étant partagé que par 14% des répondants.

Evolution des usages en 2011

 

Une très large majorité de répondants (75%) estime que l'usage des outils de communication et/ou de collaboration va croître dans le courant de l'année prochaine. Si un peu plus de la moitié (52%) estime que cette évolution sera modeste, près du quart (23%) pense au contraire qu'elle augmentera de façon significative. Seulement 2% des répondants misent en revanche sur un scénario inverse, à savoir un recul de l'usage des outils de communication / collaboration.

Précision méthodologique : cette étude intitulée "Collaboration Study : Job Title Topline Report" a été commanditée par Avanade et menée en mars 2010 par Kelton Research auprès de 538 personnes appartenant au management intermédiaire, décideurs informatiques et responsables de Business Units de 17 pays dans le monde.  

 

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1 septembre 2010 3 01 /09 /septembre /2010 18:06
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25 juillet 2010 7 25 /07 /juillet /2010 02:21

La Tunisie célèbre, dimanche, le cinquante-troisième anniversaire de la proclamation de la République Tunisienne, au lendemain de l’indépendance obtenue le 20 mars 1956, au terme d’une longue lutte...

 


Le traité du Bardo (معاهدة باردو), appelé aussi traité de Ksar Saïd, est un traité signé entre le bey de Tunis et le gouvernement français le 12 mai  1881.

Il instaure le protectorat de la France sur la Tunisie. Le bey est alors contraint de confier tous ses pouvoirs dans les domaines des affaires étrangères, de la défense du territoire et de la réforme de l'administration au résident général de France.

Les conventions de la Marsa, conclues le 5 juin 1883, vident le traité de son contenu et dépouillent le bey du reste de son autorité et instaure l'administration directe. Le traité et les conventions seront révoqués lors de l'indépendance du pays proclamée le 20 mars 1956.

La faiblesse des beys, les intrigues de leurs ministres, notamment Mustapha Khaznadar et Mustapha Ben Ismaïl, la pression constante des consuls européens, la banqueroute de l'État, devenu otage de ses créanciers malgré les efforts du grand vizir réformateur Kheireddine Pacha, ouvrent toutes grandes les portes à l'occupation étrangère. De plus, la Tunisie est alors encaissée entre l'Algérie, devenue colonie française en 1830, et la Libye qui est convoitée par l'Italie. La France  craint également de se voir distancée par l'Italie dont les nationaux établis sur le territoire sont alors plus nombreux que les siens. Une lutte serrée s'engage alors entre Théodore Roustan, alors représentant de la France, et le consul général d'Italie qui cherchent par tous les moyens à devancer la provocation d'une intervention armée de leur adversaire dans la régence. Dans ce contexte, les colonies italiennes et françaises de Tunisie sont devenues assez nombreuses et influentes auprès de leur capitale respective. Déjà, en septembre 1849, le général Giuseppe Garibaldi, expulsé de la péninsule italienne, est amené dans la rade de La Goulette par le vaisseau sarde  Tripoli en vue d'un séjour forcé à Tunis  mais le bey, sous l'influence française et craignant des incidents, interdit son débarquement. Le Tripoli repart alors avec son illustre passager. Rappelons qu'en 1835, Garibaldi, alors capitaine de la marine italienne, avait déjà fait un court séjour à Tunis où il avait conduit depuis Marseille  une frégate destinée au bey.

La France prend ainsi pied en Tunisie en 1869 par le biais d'une commission anglo-italo-française destinée à résorber la dette extérieure du pays. Même si Kheireddine Pacha réussit à rétablir les finances et entreprend une vaste politique de réformes, la France obtient, au congrès de Berlin de 1878, l'accord tacite des autres puissances européennes pour renforcer sa présence en Tunisie avec pour justification de protéger la colonie voisine d'Algérie.

En avril 1881, sur ordre du président du Conseil Jules Ferry, un corps expéditionnaire de 35 000 hommes traverse la frontière pour poursuivre des montagnards kroumirs qui sèment le trouble en Algérie (selon les autorités coloniales). Les hommes du général Alphonse Charles Delebecque envahissent les terres kroumirs à Tabarka et investissent Le Kef. Arrivés de Toulon, le général Jules Aimé Bréart débarque à Bizerte avec 8 000 hommes (1er mai) et le bey de Tunis, Sadok Bey, n'a plus guère de choix que de se soumettre. C'est ainsi qu'il signe, tout comme Ben Ismaïl, Bréart et Roustan, le traité au palais de Ksar Saïd (près du Bardo).
 

 

Conséquences

La signature du traité provoque le soulèvements des tribus Naffat et des Ouled Iyan qui mobilisent 30 000 Français. Sfax est bombardée par la marine française le 26 juillet. Kairouan, Sousse, Gabès et Gafsa subissent le même sort et sont investies.

60 000 Français occupent la Tunisie tandis que Roustan est nommé ministre résident avec pour tâche de faire rembourser les créances du pays. Le 9 juin 1881, il publie un décret par lequel le bey le nomme comme intermédiaire avec les autres puissances, président du Grand Conseil et chef des armées. Devant la complexité de la tâche, notamment le remboursement des dettes, il demande à être remplacé. En avril 1882, Jules Ferry nomme Paul Cambon qui finit par dissoudre le Grand Conseil, constitué d'hommes d'affaires tunisiens, et abolit le régime des capitulations. Cambon veut également amender le traité qui ne parle pas de protectorat. Il crée des directions, sorte de ministères chapeautés par un secrétaire général, et élimine les tribunaux européens : désormais les Européens répondront de leurs actes auprès de tribunaux français.

Mais l'affaire du Bardo soulève aussi l'irritation de l'Italie qui se serait bien vue protectrice de la Tunisie et qui croyait avoir la main mise sur la Tunisie pour se constituer un empire colonial. Du coup, Rome signe le 20 mai 1882 avec l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie le traité de la Triplice par lequel les trois pays se promettent aide et assistance en cas d'agression de la France ou de la Russie. Ce traité sera régulièrement renouvelé jusqu'à la Première Guerre mondiale.

Quant au Royaume-Uni, l'éternel rival de la France, il prend prétexte de ce traité pour précipiter sa propre intervention dans les affaires de l'Égypte. Dès l'année suivante, il établit son protectorat sur cette autre ancienne province ottomane.


Texte du traité

 

Article Premier. — Les traités de paix!!!, d'amitié!!! et de commerce!!! et toutes autres conventions existant actuellement entre la République française et Son Altesse le Bey de Tunis sont expressément confirmés et renouvelés.

Art. 2. — En vue de faciliter au Gouvernement de la République Française l'accomplissement des mesures qu'il doit prendre pour atteindre le but que se proposent toutes les parties contractantes, Son Altesse le Bey de Tunis consent à ce que l'autorité militaire française fasse occuper les points qu'elle jugera nécessaires pour assurer le rétablissement de l'ordre et la sécurité de la frontière et du littoral. Cette occupation cessera lorsque les autorités militaires française et tunisienne auront reconnu, d'un commun accord, que l'administration locale est en état de garantir le maintien de l'ordre.!!!

Art. 3. — Le Gouvernement de la République Française prend l'engagement de prêter un constant appui à Son Altesse le Bey de Tunis contre tout danger qui menacerait la personne ou la dynastie de son Altesse, !!! ou qui compromettrait la tranquillité de ses États.

Art. 4. — Le Gouvernement de la République Française se porte garant de l'exécution des traités actuellement existant entre le Gouvernement de la Régence et les diverses Puissances européennes.

Art. 5. — Le Gouvernement de la République Française sera représenté auprès de Son Altesse le Bey de Tunis par un ministre résident, qui veillera à l'exécution du présent acte et qui sera l'intermédiaire des rapports du Gouvernement Français avec les autorités tunisiennes pour toutes les affaires communes aux deux pays.

Art. 6. — Les agents diplomatiques et consulaires de la France en pays étrangers seront chargés de la protection des intérêts tunisiens et des nationaux de la Régence. En retour, Son Altesse le Bey s'engage à ne conclure aucun acte ayant un caractère international sans en avoir donné connaissance au Gouvernement de la République Française et sans s'être entendu préalablement avec lui.!!!

Art. 7. — Le Gouvernement de la République Française et le Gouvernement de Son Altesse le Bey de Tunis se réservent de fixer d'un commun accord les bases d'une organisation financière de la Régence qui soit de nature à assurer le service de la dette publique et à garantir les créanciers de la Tunisie.

Art. 8. — Une contribution de guerre sera imposée aux tribus insoumises de la frontière et du littoral. !!! Une convention ultérieure en déterminera le chiffre et le mode de recouvrement dont le Gouvernement de Son Altesse le Bey se porte responsable. !!!

Art. 9. — Afin de protéger contre la contrebande des armes et des munitions de guerre les possessions algériennes de la République Française, le Gouvernement de Son Altesse le Bey de Tunis s'engage à prohiber toute introduction d'armes ou munitions de guerre par l'île de Djerba, le port de Gabès ou les autres ports du Sud de la Tunisie.!!!

Source : http://fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/1654817

 

Conventions de la Marsa

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 16:40

Disponible pour la première fois, et simultanément, en client lourd, en version Web allégée, et sur mobile, Office 2010 devrait bénéficier des projets de rénovation du poste de travail Windows en entreprise. Un point noir cependant : la non-conformité avec la norme « Strict » du standard OOXML.

C'est aujourd'hui 12 mai que Microsoft débute la mise à disposition, pour les entreprises, des versions RTM de la suite Office 2010 et de SharePoint 2010, sa plate-forme collaborative. Pour mémoire, la précédente édition d'Office avait été lancée fin 2006, avec un fort accent mis sur l'interface.

Avec Office 2010, Microsoft conserve l'interface en ruban, mais insiste sur les fonctionnalités et les usages, mettant notamment en oeuvre sa stratégie des trois écrans. La suite bureautique sera ainsi proposée à la fois en ligne via le navigateur (Office Web Apps),  en client lourd sur le poste et en version pour mobile (compatible Windows Phone 6.5 et 7 et Nokia Symbian).

Office 2010 : un licence client lourd qui offre l'accès à un client Web

« Office 2010 marque un tournant stratégique pour Microsoft et Office. Pour les utilisateurs des versions 2003 et 2007, la migration se traduit par le support de tous les nouveaux usages provenant de la mobilité et du Web. Le but avec Office 2010 est de couvrir les nouveaux usages, tout en conservant une expérience, un format de document et un rendu graphique identiques » assure Jean-Christophe Pitié, directeur de la division Office chez Microsoft France.

Microsoft met également en avant la dimension collaborative intégrée à Office 2010 par le biais de SharePoint. Exemples : possibilité de travailler à plusieurs en temps réel sur un même document (avec toutefois un verrouillage au niveau du paragraphe dans Word et de la cellule dans Excel) , la prise en charge des réseaux sociaux (Facebook, LinkedIn et depuis le 12 mai, Viadeo) et leur intégration dans Outlook (Outlook Social Connector), etc.

Troisième pilier sur lequel insiste la firme de Redmond pour promouvoir Office 2010 : le Cloud. Avec Office Web Apps, Microsoft propose en effet désormais aux entreprises (et aux particuliers via Windows Live) de disposer d'une version en ligne, mais allégée, des outils Office (Word, Excel, PowerPoint et OneNote).

Microsoft a priori peu enclin à concurrencer Office avec une version SaaS

Cependant Microsoft n'est pas allé jusqu'à basculer pleinement sur le SaaS puisque l'accès à Office Web Apps n'est que complémentaire et requiert pour les entreprises de souscrire une licence. Pour une licence Office 2010, l'utilisateur dispose ainsi d'un client lourd et du client en ligne.

Si Exchange, Sharepoint, Office Communications et Live Meeting (et bientôt Dynamics CRM) sont eux proposés sous forme d'abonnement via la plate-forme BPOS, aucun projet concret de porter Office dans le Cloud n'a pour l'heure été dévoilé.

« Nous regardons cela très activement... Nous y travaillons » déclare évasivement Jean-Christophe Pitié. Pas sûr toutefois que l'éditeur envisage réellement de proposer Office en abonnement sous forme d'un service SaaS. Office Web Apps était une réponse aux Google Apps et à sa bureautique en ligne. Y aura-t-il une prochaine étape ? Rien n'est moins sûr.

« Tous les utilisateurs n'ont pas les mêmes usages. Chacun utilise peut-être 10 à 15% des fonctionnalités, mais ce n'est jamais les mêmes d'un utilisateur à un autre. Avec Office 2010, nous souhaitions offrir une large couverture de ces usages très divers. Le passage sur Google Apps au sein de Jaguar est un désastre. On le constate aux témoignages des utilisateurs sur les forums. Ils se plaignent parce que les outils ne correspondent pas à la richesse des usages. C'est pour répondre à cette diversité que nous apportons le Web et le mobile » argumente Jean-Christophe Pitié.

Les projets de bureau Windows 7 devraient bénéficier à Office 2010

En présentant le service de son concurrent (et plus largement ce type d'outils de productivité en mode SaaS) comme peu à même de couvrir les besoins des utilisateurs en entreprise (les retours de clients interrogés par ZDNet.fr tendraient à affirmer le contraire), Microsoft semble exprimer sa faible motivation à offrir un Office Web qui constituerait une alternative (et non un complément) à son client lourd.

Néanmoins, bien que Microsoft ne dispose pas encore de cette corde à son arc, il peut compter sur une forte adoption d'Office 2010 en entreprise. Adoption qui tiendra en grande partie au calendrier. Nombre d'entreprises, demeurées sur Windows XP, doivent en effet renouveler leur parc de PC. Le nouveau bureau s'appuie ainsi souvent sur un master à base de Windows 7, Office 2010 et IE8 (comme chez Sanofi-Aventis).

Autre élément favorable à Microsoft : la consumérisation de l'informatique. Les salariés découvrent souvent dans leur foyer des logiciels avant leur intégration en entreprise, ce qui n'était pas forcément le cas il y a quelques années. Ainsi, les évolutions sur le poste de travail en entreprise sont moins perturbatrices pour les utilisateurs. L'informatique personnelle est clairement un moyen d'influer sur l'informatique professionnelle.

Pas de conformité totale avec OpenXML ISO/IEC 29500 avant Office 15 : un comble ?

Enfin, la sortie d'Office 2010 n'intervient pas sans une once de polémique. Depuis longtemps décrié pour les problèmes de comptabilité des documents entre les versions d'Office, et malgré ses déclarations en faveur de l'interopérabilité, Microsoft manque l'occasion d'en apporter la démonstration dans Office 2010.

Alex Brown, responsable du groupe de travail Office Open XML (OOXML) à l'ISO - le standard porté par Microsoft - s'est désolé sur son blog de la non prise en charge complète du format dans Office 2010. La suite ne sera en effet pas pleinement compatible avec la version « Strict » du standard (ISO/IEC 29500).

Microsoft s'était pourtant engagé en ce sens. Finalement, l'éditeur a expliqué que la conformité totale avec le standard OOXML (la norme "Strict" et non "Transitional") ne sera atteinte qu'avec la prochaine version d'Office. Office 2010 ne supporte donc pour l'heure les spécifications « Strict » qu'en lecture, mais pas en écriture.

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 18:09
SharePoint - Documentum - Oracle UCM

ECM Softwares Demand Comparison In March

ECM Softwares Demand Comparison

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 18:01

Demande International de Sharepoint

Sharepoint Demand In March

http://sheet.zoho.com


 

Sharepoint – Favourite Citieshttp://sheet.zoho.com


 

Sharepoint Salary Comparison

http://sheet.zoho.com


 

Sharepoint – Job Roles Comparision

http://sheet.zoho.com


 

Sharepoint – Experience based demand trend

http://sheet.zoho.com


 

Sharepoint – Skils based demand trend

Sharepoint - Skils based demand trend


 

Sharepoint – Other Skils based demand trend

Sharepoint - Other Skils based demand trend

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19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 07:14

Site Web de réseautage social Facebook a couronné une année de croissance phénoménale en dépassant Google's popularité auprès des utilisateurs américains d'Internet, avec des données de l'industrie montrant qu'elle a reçu plus de visites sur sa page d'accueil que les Moteur de recherche.


Dans un signe que le web est de plus en plus sociable que consultable, firme de recherche Hitwise a dit que les deux sites représentaient 14 pour cent de toutes les visites internet américain la semaine dernière. Page d'accueil de Facebook a enregistré 7,07 pour cent du trafic de Google et de 7,03 pour cent.

C'est la première fois que Facebook.com a connu une avance hebdomadaire sur Google.com. Le plomb mai être mince, mais il est devenu inévitable que la popularité de Facebook a rapidement augmenté d'un peu plus de 2 pour cent des visites il ya un an. Heather Dougherty de Hitwise a dit que Facebook a "franchi une étape importante" avec les chiffres hebdomadaires.

Membres de Facebook a plus que doublé l'an passé, passage du seuil des 200m en avril dernier et 400m en Février.

"La véritable valeur de Facebook et les réseaux sociaux est en train de devenir clairement aux spécialistes du marketing», a déclaré Augie Ray, analyste chez Forrester Research.

Bien que Facebook est en pleine expansion, il ne fait que commencer pour tirer profit de son succès. Recettes à la société de médias sociaux sont estimées être de l'ordre de $ 1 milliard à 1,5 milliard de dollars cette année, alors que Google a pris l'an dernier 23.7bn $.

Google a réagi à l'emprise du site de réseautage social avec son propre Buzz service le mois dernier. Buzz permet aux utilisateurs d'ajouter des mises à jour de l'état, des amis, des images, des vidéos, des informations sur la localisation, des commentaires et des liens vers d'autres sites de réseautage. Buzz, cependant, a lutté avec la vie privée comme Facebook a été critiqué pour encourager les membres à révéler des données personnelles à des moteurs de recherche.

Le Hitwise chiffres ne concernent que les visites sur le site Google.com, ce qui signifie que les services tels que Gmail, YouTube, Google Maps et de perquisitions effectuées dans une boîte dans une barre d'outils du navigateur sont exclus. Compte tenu de tous les sites Google en compte, la société Internet a représenté 11,03 pour cent des visites de sites Web américains la semaine dernière, contre 10,98 pour cent pour les propriétés de Yahoo et de 7,07 pour cent pour Facebook, selon Hitwise.

Trajectoire de Facebook donne à penser qu'il va exploser en avance sur Google.com, dans les mois à venir. Cependant, les sites de réseautage social sont tombés dans le passé. Google.com avait menée depuis Septembre 2007, quand elle a dépassé le Nouvelles Corp'S MySpace.com.

Les utilisateurs Internet du monde entier ont dépensé plus de cinq-et-un-demi-heures par mois sur les sites de réseaux sociaux tels que Facebook et Twitter en Décembre 2009, un 82 pour cent d'augmentation sur l'année précédente, selon la firme de recherche Nielsen Company.

Des utilisateurs américains ont dépensé près de six ans et demi heures sur Facebook contre moins de deux ans et demi heures sur Google. TRaduction Google

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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 23:02

Ce quadrant magique représente un instantané du marché de l'ECM en un point donné dans le temps. Gartner conseille aux lecteurs de ne pas comparer le placement de fournisseurs dans les années antérieures, comme ce marché est en mutation - des acquisitions du vendeur, des partenariats, des solutions de développement et d'autres modèles de prestation sont la preuve de cela - et les critères de sélection et de classement des fournisseurs continuent d'évoluer.

Nos évaluations tiennent offre actuelle de produits des fournisseurs compte »et de stratégie globale, ainsi que leurs initiatives prévues et cartes routières de produits. Nous considérons aussi la façon dont les vendeurs sont le moteur des changements du marché et s'adapter aux besoins changeants du marché. Ce Magic Quadrant aidera les DSI et les responsables métier et informatiques qui développent des stratégies de gestion de contenus pour évaluer si les fournisseurs ont les bons produits et plates-formes d'entreprise pour les soutenir.

ECM technologie a beaucoup évolué ces dernières années, avec une plus large fonctionnalité suite, un meilleur contrôle des processus, la facilité d'utilisation améliorée et un accent plus fort sur les disques. En conséquence, nous conseillons vivement les organisations avec les technologies d'ECM qui sont plus de cinq ans, ou avec des produits multiples à travers les départements et zones géographiques, de réévaluer leur architecture contenu.

Utilisez ce «Magic Quadrant» de comprendre le marché d'ECM et comment les taux de Gartner fournisseurs et de leurs produits emballés. Inspirer de cette recherche pour évaluer les fournisseurs basée sur un ensemble personnalisé de critères objectifs. Gartner conseille les organisations contre les sélectionnant simplement les fournisseurs qui figurent dans le quadrant des leaders. Toutes les sélections doivent être acheteurs spécifiques, et les vendeurs de la Challengers, Niche Players ou quadrants des visionnaires mai être matches de meilleure qualité pour vos objectifs d'affaires et les exigences de solution.

Figure 1. Magic Quadrant for Enterprise Content Management

Figure 1.Magic Quadrant for Enterprise Content Management


Source: Gartner (Octobre 2009)
Aperçu du marché

Les organisations ont besoin d'ECM pour gérer la croissance augmente, le volume et la diversité du contenu non structuré, qui représente aujourd'hui jusqu'à 80% de l'information d'entreprise. Il existe une opportunité pour commencer à appliquer ce contenu certains de la rigueur actuellement consacrées à des données structurées en termes de valorisation, élimination des redondances, l'optimisation des architectures de disponibilité, d'enrichissement des métadonnées, et la maîtrise globale du cycle de vie.

Le marché ECM enregistré une croissance à deux chiffres allant de 2004 à 2007, mais son expansion s'est ralentie à un taux à un seul chiffre en 2008, principalement en raison de la détérioration des conditions économiques mondiales. Selon les statistiques de Gartner, à travers le monde ECM licence du logiciel et de maintenance est venu à 3,3 milliards de dollars en 2008.

Nous prévoyons que les recettes totales de logiciels sur le marché d'ECM va croître à un taux annuel composé de 9,5% jusqu'en 2013. Le retour du marché à plus forte croissance est attendue à partir de 2010, avec des taux grimpant à deux chiffres et dans le monde ECM chiffre d'affaires logiciels dépassant 5,1 milliards de dollars d'ici 2013. Ceci représente un marché sain, mais il est aussi celui qui est en pleine transformation.

Le marché d'ECM a traversé une période de consolidation majeure de 2003 à 2007. Le rythme des acquisitions s'est ensuite ralentie jusqu'en 2009, lorsque l'autonomie acheté Interwoven et Open Text a acquis Vignette. Nous sommes maintenant dans la phase finale de consolidation du marché en tant que vendeurs chercher à gagner des parts de marché et augmenter les stratégies plus larges en matière de gestion de l'information en élargissant composite fondations application de contenu ou la promotion de l'intégration avec SharePoint de Microsoft.

Moteurs du marché

En général, la conjoncture économique de 2008 à 2009 a forcé les entreprises à faire des choix difficiles en termes de dépenses en technologie. Cependant, le marché d'ECM est un peu à l'abri de la récession, pour trois raisons:

  • La taille même de l'augmentation du volume et la complexité du contenu est stimulant préoccupation et d'investissement.
  • Pression sur les prix auprès des fournisseurs open-source ou concurrentes "pile" ou les vendeurs de suite a poussé le prix par place dans les propositions jusqu'au niveau d'actualisation, qui a stimulé la hausse de la demande (même si l'augmentation des coûts de maintenance et des services ont en partie compenser cette réduction).
  • Souvent, une seule personne contrôle le budget pour l'ensemble des composants de la MEC d'une organisation et des solutions, si les achats restent le point commun. Ce sont souvent des projets indépendants dont les promoteurs d'entreprises ont une seule déclaration sur investissement (ROI) cible.

Des possibilités intéressantes existent pour les organisations de consolider ou rationaliser certains éléments qui se chevauchent et coûteux de contenu d'entreprise vastes architectures. L'ampleur et la maturité de certaines offres d'ECM signifie qu'il mai maintenant être possible de traiter ECM besoins fondamentaux en produits des fournisseurs moins nombreux. Fournisseurs régionaux, des spécialistes verticaux du marché, les fournisseurs de logiciels open-source, et les fournisseurs de SaaS mai trouver des débouchés dans les départements de l'entreprise, mais elle et les stratèges d'entreprise doit chercher à rationaliser une architecture de contenu qui protège contre les achats ponctuels tactiques qui isolent l'utilisateur des informations ou des populations .

La nécessité de gérer les risques associés avec les magasins de plus en plus de papier non managé et du contenu numérique nécessite de se concentrer sur l'évaluation du contenu et de gouvernance. Vendeurs dans différents logiciels et le service des marchés sont en soulignant les menaces contre les contenus non contrôlés en abordant différents messages aux différentes parties prenantes, afin de stimuler les dépenses de tactiques sur des produits pour la capture d'image, l'archivage, archivage d'e-mail, gestion des dossiers, la gestion des politiques, de stockage (matériel et logiciel), la fédération référentiel de contenu, recherche d'entreprise, e-discovery, e-formes, et la conformité réglementaire. La reconnaissance de ce qui a encouragé les entreprises à revoir leurs stratégies de gestion de cycle de vie du contenu, contrôle d'accès, la disponibilité et les coûts de manière plus significative.

Inhibiteurs du marché

Bien que le climat économique en difficulté est la stimulation des changements positifs dans certains scénarios, il soulève aussi de certains décideurs de plus en plus prudents. Gartner a remarqué un besoin accru de cas approfondies avec des entreprises solides et bien appuyé les arguments de ROI. Cela permettra d'éviter toute reprise significative des dépenses, mais pourrait contribuer à soutenir la croissance du marché de l'ECM dans les années à venir, les organisations à réaliser des bénéfices plus tangibles de plates-formes ECM, les cadres et les solutions, et les communiquer en interne.

Avec un nombre de fournisseurs de l'introduction ou l'expansion d'un portefeuille d'ECM, il est parfois difficile de distinguer une offrande qui peuvent soutenir la stratégie ECM d'une organisation au lieu d'offrir seulement la plus banalisée, les fonctions de base, ou qui se contente de soutenir un processus unique ou d'une population d'utilisateurs. Confusion au sujet de l'ampleur et la pertinence des logiciels disponibles ECM est d'aider les fournisseurs en place, des produits de base à prix alternatives et de solutions point avec prouvé ROI quasi-immédiat. Avec tant d'applications déjà en jeu dans la plupart des entreprises, la stratégie devrait être axée sur l'analyse du portefeuille, des projets et des priorités des parties prenantes, et une complexité réduite.

Grandes tendances dans le marché d'ECM

Parmi les tendances primordiale qu'elle architectes et les planificateurs et les dirigeants d'entreprises doivent examiner pour élaborer des stratégies de gestion de contenu et de déterminer leurs partenaires stratégiques sont les suivants.

ECM est maintenant partie de l'infrastructure TI et livrés par les fournisseurs d'infrastructure tels que HP, IBM, Oracle, Microsoft et SAP. Demandes de renseignements reçues par Gartner donnent à penser que les architectes d'entreprise et des TI planificateurs sont à la recherche de plus en plus de standardiser sur une ou plusieurs offres de plate-forme stratégique de ces vendeuses à soutenir les applications de contenus multiples.

L'intégration et la fédération des référentiels de contenu est désormais indispensable. Content Management Interoperability Services (CMIS), le protocole des services Web conjointement élaborés et proposés par EMC, IBM, Microsoft et autres, mai réussir là où d'autres ont échoué. Il est conçu pour fournir un fournisseur neutre de développement d'applications qui peuvent accéder au contenu stocké dans un référentiel CMIS conforme.

Canal des technologies Web que de proposer de meilleures expériences, les conversions et la fidélité client sont la principale préoccupation de nombreuses entreprises. L'influence du directeur marketing en orienter les dépenses de marketing sur des machines qui misent sur la gestion de contenu Web (WCM), gestion des actifs numériques (DAM), Web Analytics, portails, e-formes, les caractéristiques de composition de documents, les communautés sociales, le soutien des appareils mobiles et gestion des processus métier (BPM) est maintenant évidente. La capacité de livrer plus attrayante, dynamique, personnalisé et des médias riches en contenu à tout public sur n'importe quel appareil, et de mesurer avec plus de précision la valeur des liens qui unissent les gens, les processus et le contenu, a conduit à une rupture par rapport à la suite d'ECM: " WCM pour la commercialisation. "

Application spécificité, fondée sur l'évolution des centres d'achat. Moins de fournisseurs d'ECM se concentrera sur le regroupement des fonctions généralistes (comme l'imagerie, les services de bibliothèque et de collaboration de document), laissant ces fonctions à des fournisseurs d'infrastructures. La plupart des fournisseurs se concentrera plutôt sur la valeur ajoutée en regroupant des fonctions spécifiques comme "configurations de base" - des solutions verticales ou horizontales qui sont intégrés à l'industrie, les applications ERP ou CRM. Composite applications de contenu sont des éditeurs d'ECM comment offrira une valeur ajoutée aux acheteurs d'affaires. Globalement, ces solutions se répartissent en trois catégories, selon les technologies les plus souvent impliquées dans leur développement. Peu d'éditeurs ont un marché de premier plan sur l'accent, et des aptitudes dans tous les trois catégories. Les trois catégories sont les suivantes:

  • Transactionnelles des solutions de gestion de contenu l'accent sur l'imagerie, de workflow / BPM, d'archivage, gestion des documents et formulaires électroniques. Contenu figurant au sein de ces solutions a tendance à être statiques. Processus tend à être de longue date et ont un nombre élevé de formulaires ou documents que la demande d'évolutivité, de contrôle du cycle de vie et à l'approbation de l'homme (principalement sur les exceptions). Une interface de l'application est presque certaine.
  • La gestion collaborative des solutions de contenu concentrer sur le contrôle composé objet de contenu et de services de bibliothèque; collaboration sur des documents, l'automatisation de workflow avec des alertes, agendas et tâches de suivi, navigateur ou l'affichage du portail et de balisage, d'annotation et de contrôle de version. L'accent est mis sur les personnes à haut valeur étant impliqués dans le projet en fonction ou de longue durée le développement et la livraison de contenu de grande valeur et sur l'optimisation des processus, des interfaces et des objectifs qui les concernent.
  • Contextuelles des solutions de gestion de contenu l'accent sur des ensembles de Web canal de technologie, comme WCM, DAM, portails, e-formes, d'analyse Web, les logiciels sociaux, XML, Rich Media la gestion et support des périphériques mobiles, et sur l'optimisation de leur servir de Web-rendu des plates-formes d'engagement pour une variété de solutions axées sur l'industrie.

D'autres modèles de prestation. Plus d'entreprises et les gouvernements veulent de nouvelles méthodes d'obtention de la capacité d'ECM, y compris les logiciels SaaS et open-source. Ces nouvelles méthodes se développera en comparaison à la livraison classique, mais ne l'éclipse. Émergents "solutions en tant que service» ou d'applications hébergées contenu composites représentent le meilleur effet de levier sur la conversion de locaux à nuages de contenu en fonction pour les acheteurs d'affaires désireux de maintenir les coûts bas et tirer profit des combinaisons optimales de la technologie, l'emplacement et la logique processus. De nombreux vendeurs Suite prononcera SaaS comme une offrande par satellite.

L'influence des métadonnées est de plus en plus claire, que ce soit prélevée à partir de papier existants et des documents numériques ou ajoutés lorsque l'auteur, et si liée à une taxonomie officielle ou étiquetés de manière informelle par les utilisateurs. Comme des objets plus de contenu, allant de petits composants XML à une plus grande richesse des fichiers multimédias, doivent être mieux gérée, la notion de granularité - dans le contenu lui-même, dans les politiques et règles associées à un contenu «traitabilité», et en information des usagers ( veut / besoins, présence, la localisation) - est un facteur clés de planification pour les entreprises chercheront davantage de levier de l'information comme un actif. Les descripteurs plus un objet de contenu a, plus elle est susceptible d'offrir plus de valeur dans des contextes différents.

Convivialité accrue pour des publics cibles non technique. Il est désormais normal pour les interfaces utilisateur de la contribution de contenu, de la consommation et de collaboration pour être différentiateurs concurrentiels. Plus de capacités sont de plus en plus facile d'accès et d'utilisation, et ils comprennent un vaste éventail de fonctions modulaires qui peuvent être activés ou désactivés selon les besoins. Même si un idéal "client" contenu n'a pas encore dégagé, la convivialité et la fin-acceptation par les utilisateurs deviennent des critères essentiels de sélection.

L'influence continue du marché intermédiaire comme un centre d'achat - Particulièrement pour les applications composites contenus dans les soins de santé, le gouvernement, les services financiers, l'enseignement supérieur et l'automatisation des factures - est de générer des recettes supérieures à même certains des fournisseurs d'ECM plus grandes. Ceux qui se concentrent ici ont vu l'année une croissance significative dans l'année. Voici également une première occasion pour les fournisseurs de SaaS et open-source de gagner du terrain et la visibilité.

Hybrid Architecture de contenu Emerge

L'analyse de Gartner montre que les organisations de toutes tailles et dans toutes les régions envisagent de Microsoft Office SharePoint Server 2007 (MOSS 2007) en raison de l'étendue des capacités qu'elle offre, et parce que Microsoft est déjà l'un de leurs fournisseurs d'infrastructures stratégiques. Comme SharePoint s'installe dans une organisation, les utilisateurs commencent naturellement à explorer sa convenance pour une plus large gamme d'applications de gestion de contenu et de son potentiel pour remplacer les solutions existantes. Mais les organisations nécessitant des capacités avancées de gestion de contenu et le processus des applications centrées devront augmenter les capacités de SharePoint avec les offres des partenaires ou de déployer MOSS 2007 aux côtés d'un système ECM, plutôt que comme un remplacement.

Pour les organisations où la cohérence des informations plus large et cohérente de représentations sémantiques sont critiques, la stratégie deviendra un peu plus compliqué. Questions comme la recherche fédérée, les stratégies de métadonnées et l'interopérabilité entre les contenus et les systèmes de gestion des dossiers seront des considérations essentielles dans les déploiements de SharePoint. Bien que les fournisseurs d'ECM sont vantant leur capacité d'intégration avec SharePoint, il n'est souvent pas l'intégration autant que la copie des fichiers terminée. Lorsque l'intégration d'évaluer, essaient toujours d'avoir «une version de la vérité." Ayant un document dans SharePoint et une prétendue double dans un système ECM invite les problèmes d'intégrité des données - si les documents sont effectivement pas les mêmes, qui est la bonne? Beaucoup d'entreprises ont échoué à la gestion de contenu et peut-être mieux informés afin de déterminer quel pourcentage de contenu qui n'est pas de gérer et d'utiliser une ressource à cet effet. Une couche de "projet" de contenu au niveau des infrastructures, avec une attribution de cycle de vie que sur la création de contenu et un chemin de la promotion à la garde d'archives, en fait un régime hybride préliminaires susceptibles de contenu architecture.
Définition du marché / Description

ECM défini comme une stratégie peuvent aider les entreprises à prendre le contrôle de leur contenu et, ce faisant, stimuler la productivité, encourager la collaboration et faciliter l'information à partager.

ECM définie comme Software repose sur des applications qui interagissent, mais qui peuvent être vendus et utilisés séparément.

Gartner définit les suites d'ECM aujourd'hui comme englobant les six éléments fondamentaux suivants:

  • Gestion de documents de facturation rapides, contrôle de version, de sécurité et services de bibliothèque pour les documents commerciaux.
  • Document Imaging pour la capture, la transformation et la gestion d'images de documents papier.
  • La gestion des documents pour l'archivage à long terme, l'automatisation de la rétention et les politiques de conformité, et assurer la sécurité juridique, réglementaire et conformité de l'industrie.
  • Workflow de soutenir les processus d'affaires, l'acheminement de contenu, en assignant les tâches et les États, et la création de pistes de vérification.
  • WCM pour contrôler le contenu d'un site grâce à l'utilisation d'outils de gestion spécifiques fondés sur un référentiel de base. Il inclut des fonctions de création de contenu, tels que les gabarits, de workflow et de gestion du changement, et des fonctions de déploiement de contenu qui offrent préemballés ou contenus sur demande à des serveurs Web.
  • Document collaboration centrée pour le document de partage et de soutien d'équipes de projet.

Critères d'inclusion et d'exclusion

Pour apparaître dans ce Magic Quadrant, un fournisseur doit satisfaire aux critères de Gartner pour les recettes, de présence géographique, les capacités fonctionnelles et "referenceability. Plus précisément, un fournisseur doit:

  • Avoir au moins 10 millions de dollars au total des recettes de gestion de contenu logiciels (licences, mises à jour et maintenance). Un vendeur de logiciels open-source doit avoir au moins 10 millions de dollars en abonnements annuels des clients pour la maintenance et de soutien.
  • Activement à commercialiser ses produits dans au moins deux grandes régions - par exemple, Amérique du Nord et en Europe, au Moyen-Orient et Afrique (EMEA), ou en Asie / Pacifique et Amérique latine.
  • Avoir un logiciel ECM commercialement disponible, et active les références qui utilisent ses produits dans les scénarios de production.
  • Avoir une suite de gestion de contenu qui traite des éléments de base énumérés ci-dessous. Un vendeur doit avoir une suite intégrée avec au moins quatre de ces composants fournis en natif, d'autres mai être approvisionné par les partenaires.

Composants de base d'une suite d'ECM sont les suivants:

  • Gestion des documents. Parmi les fonctionnalités avancées telles que le soutien des documents composés et le score de la réplication de contenu plus fortement que ne le font les services de bibliothèque de base.
  • Document Imaging. Pour cet élément, nous avons besoin d'un fournisseur à offrir deux choses: (1) la capture de documents (numérisation du matériel et des logiciels, d'optique et des technologies intelligentes de reconnaissance de caractères et la forme, la technologie de traitement) ont effectué soit en utilisant les capacités indigènes ou grâce à un partenariat formel avec une tierce partie Fournisseur de solutions telles que Kofax, EMC (Captiva) ou Datacap, (2) la capacité de stocker des images de documents numérisés dans le garde comme «juste un autre type" contenu dans un dossier, et de les acheminer au moyen d'un procédé électronique.
  • Gestion des documents. L'exigence minimale est la capacité de faire appliquer la rétention de documents d'affaires critique d'après le calendrier de conservation des documents. Notes plus élevées sont donnés pour le respect certifiés conformes aux normes tels que le Department of Defense (DoD) La directive 5015.2-STD, The National Archives (TNA), le Victorian Electronic Records Strategy (VERS) et modèle de prescriptions concernant la gestion des documents électroniques (MoReq) .
    • Plusieurs fournisseurs d'ECM se qualifier pour une analyse indépendante de la fonctionnalité de gestion de dossiers.
  • Workflow. L'exigence minimale est simple examen des documents et de workflow d'approbation. Points au-dessus sont données à des vendeurs avec des constructeurs de processus graphiques et de routage de série et parallèle.
    • Plusieurs fournisseurs d'ECM se qualifier pour une analyse indépendante de leur automatisation des flux ou des fonctionnalités de BPM.
  • Web Content Management. L'exigence minimale est d'un partenariat formel avec un fournisseur de WCM. Capacités natives des résultats meilleurs que les partenariats.
    • Plusieurs fournisseurs d'ECM se qualifier pour une analyse indépendante de leur fonctionnalité WCM.
  • Document collaboration centrée. Le partage de documents, l'équipe de soutien du projet et le soutien aux ad hoc, les fils de discussion sur les documents. *

Leaders

Les dirigeants ont les plus hauts scores combinés pour la capacité d'exécuter et de complétude de la vision. Ils se portent bien et sont prêts pour l'avenir avec une vision clairement articulée. Dans le cadre de l'ECM, ils ont des partenaires de canal forte présence dans plusieurs régions, la performance financière cohérente, un soutien large plate-forme et le support client bien. En outre, elles dominent dans une ou plusieurs technologies ou des marchés verticaux. Leaders d'offrir une suite qui aborde tous les six composantes de base, si ce ne sont pas nécessairement leur appartenant, étroitement intégrés, uniques ou best-of-breed dans chaque domaine. Nous mettons davantage l'accent cette année sur les déploiements en entreprise démontrée; intégration avec les autres applications d'entreprise et des référentiels de contenu, intégration de Web 2.0 et les fonctionnalités XML et processus vertical / horizontal solutions mettent l'accent. Les dirigeants doivent mener la transformation du marché. Il ya cinq leaders dans le Magic Quadrant de cette année.
Challengers

Challengers offrent de bonnes fonctionnalités et ont un nombre considérable d'installations, mais ils n'ont pas la vision des dirigeants. Ils ne possèdent pas toutes les composantes d'ECM de base. Au lieu de cela, ils utilisent des partenariats afin d'arrondir leurs suites.

Hyland Software est le seul challenger dans ce quadrant magique.
Visionaries

Visionaries mai offrir toutes les capacités en natif ou qu'ils mai partenaire avec d'autres fournisseurs pour les composants de base de plusieurs ECM. Dans certains cas, des visionnaires devront intégrer leurs acquisitions dans leurs suites de produits. Ils montrent en général une bonne compréhension du marché et d'anticiper les pilotes itinérante. Ils mai diriger les efforts en matière de normes, de nouvelles technologies ou les modèles de prestation de remplacement, mais ils ont moins de capacité à exécuter que les leaders. Ils cherchent à accroître leur présence sur le marché.
Niche Players

Niche Players mettent généralement l'accent sur des catégories spécifiques de la technologie ECM (comme la gestion de contenus transactionnels), les acheteurs du marché intermédiaire, ou les suppléments aux offres des applications d'affaires ou la pile fournisseurs. Ils mai également être fournisseurs d'infrastructure de base fournissant des fonctionnalités de gestion de contenu (comme SAP, par exemple). Cette catégorie comprend mai fournisseurs qui sont ramping encore leurs efforts ECM globale et qui n'ont ni la vision ni de l'exécution de sortir du quadrant acteurs de niche. Certains lecteurs de créneaux sont les «boutiques» qui ne servent qu'à certaines régions, les industries ou domaines fonctionnels, pas le marché plus large.

Microsoft

MOSS 2007 a été très réussi à obtenir des sièges et de "partager l'esprit" pour Microsoft, ainsi que pour bon nombre de ses partenaires - et même ses concurrents. La prochaine version, prévue pour le premier semestre de 2010. SharePoint est principalement une gestion de documents et plate-forme collaborative de gestion de contenu, mais son influence sur le marché mondial de l'ECM ne peut pas être surestimée.

Points forts

  • Parce que MOSS 2007 va bien au-delà de la gestion de contenu de base en recherche du portail et des technologies de collaboration, il a attiré de nombreux adeptes depuis sa sortie il ya presque trois ans. Peu de demandes de renseignements au sujet ECM Gartner ne parviennent pas à toucher à SharePoint, en partie en raison des succès "de Microsoft ensemencement" stratégie de la bibliothèque y compris les services de base dans Windows SharePoint Services (WSS), qui sont «libres» et facile à utiliser.
  • Merci à la position de Microsoft comme une "pile" vendeur, MOSS 2007 a attiré un écosystème très grand, avec beaucoup de vendeurs de logiciels tiers renforcement des extensions et des intégrateurs de système de production des grandes entreprises dans les déploiements et les personnalisations.
  • SharePoint a causé de nombreuses entreprises de se concentrer sur une stratégie d'ECM. Cette influence a également été ressentie par les autres fournisseurs sur le marché, dont la position ou l'autre de leurs produits comme des compléments logiques dans une architecture de contenu hybride basé sur SharePoint, ou à modifier leurs produits vers des solutions de messagerie du marché verticaux qui offrent une valeur en raison de leur spécificité à des domaines où Microsoft ne participe pas.

Précautions

  • MOSS 2007 est la gestion des dossiers et les limitations d'archivage, modestes capacités de WCM, BPM et limitée / de renforcement des capacités d'imagerie composite applications de contenu.
  • Les commentaires des clients concernant les déploiements, les grandes décentralisée de MOSS 2007 indique un besoin d'améliorations en termes d'évolutivité, de gestion du déploiement, la latence et la fonctionnalité de réplication.
  • Bien que la flexibilité SharePoint est un avantage, il crée également des défis que les entreprises s'efforcent de construire l'expérience technique et d'architectures de l'information. Microsoft a publié des lignes directrices et a fourni des ressources disponibles pour résoudre ce problème, mais la largeur de MOSS 2007 ses capacités propres et les attentes parfois gonflés de sponsors peut conduire au déploiement et à la gouvernance.

Source : Gartner (article traduit par Google)

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8 février 2010 1 08 /02 /février /2010 15:37

La facture de l’acquisition des droits d’utilisation des systèmes et logiciels Microsoft par les diverses administrations et organismes publics s’élèvera à 6,3 millions de dinars en 2010. Les revenus tunisiens de la firme de Redmond (Etat de Washington) au cours de l’année à venir sont en sensible baisse par rapport aux 7,8 millions de dinars qu’elle y avait engrangés en 2009. Ce recul est dû à la baisse du montant acquitté par l’organisme qui fut durant cette année le plus gros consommateur de licences Microsoft en Tunisie : le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche scientifique et de la Technologie dont la facture tombe de 2,74 millions de dinars en 2009 à 546.000 dinars tunisiens en 2010.

De ce fait, ce département ne se classe plus que 6ème, en termes de droits acquittés à Microsoft, derrière les ministères de la Justice et des Droits de l’Homme (893.333 DT), de l’Education et de la Formation (852.000 DT), de l’Agriculture et des Ressources hydrauliques (692.000 DT), de la Santé publique (686.000 DT), et des Finances (513.000 DT).

Loin derrière, on trouve les départements de l’Intérieur et du Développement local (397.000 DT), des Affaires sociales, de la Solidarité et des Tunisiens à l’Etranger (265.000 DT), de l’Equipement, de l’Habitat et de l’Aménagement du Territoire (212.000 DT), le Premier ministère (198.000 DT), le ministère des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières (166.000 DT), de la Jeunesse, des Sports et de l’Education physique (142.000 DT), et de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine (107.000 DT).

Une dizaine de ministères ferment la marche pour lesquels le montant des droits payés sera inférieur à 100.000 dinars tunisiens en 2010 : Affaires étrangères, et Commerce et Artisanat (93.000 DT), Industrie, Energie et PME (76.000 DT), Défense nationale (68.000 DT), Développement et Coopération internationale (60.000 DT), Transport, et Emploi et Insertion des Jeunes (48.000 DT), Présidence de la République (42.000 DT), Chambre des députés (33.000 DT), ministères de la Communication et des Relations avec la Chambre des députés et la Chambre des conseillers (25.000 DT), des Technologies de la Communication (18.000 DT), des Affaires religieuses (14.000 DT), du Tourisme, et la Chambre des Conseillers (12.000 DT).

Outre le ministère de l’Enseignement Supérieur, les plus grands utilisateurs légaux de systèmes et logiciels Microsoft dans le secteur publique étaient ceux de l’Education et de la Formation (852.000 DT), de la Justice et des Droits de l’Homme (893.000 DT), de l’Agriculture et des Ressources hydrauliques (692.000 DT), de la Santé Publique (688.000 DT), des Finances (513.000 DT), de l’Intérieur et du Développement local (397.000 DT), des Affaires sociales, de la Solidarité et des Tunisiens à l’Etranger (265.000 DT), du Premier ministère (198.000 DT), des Domaines de l’Etat et des Affaires foncières (166.000 DT), de l’Equipement, de l’Habitat et de l’Aménagement du Territoire (212.000 DT), et de la Jeunesse , des Sports et de l’Education physique (142.000 DT).

En continuant à régler ces droits, l’Etat tunisien confirme son engagement à lutter contre le piratage informatique. D’ailleurs, la Tunisie ne figure plus aujourd’hui parmi les plus grands «repaires» de pirates informatiques. En effet, le rapport 2008 de la «Business software alliance» -un regroupement défendant les intérêts des principales multinationales éditrices de logiciels- la place en milieu de classement (15ème), derrière les meilleurs «élèves» en matière de respect des droits d’auteurs informatiques (Israël, Afrique du Sud, Emirats Arabes Unis, Réunion, etc.) et devant les «rois» du piratage informatique (Géorgie, Bangladesh, Arménie, etc.).Moncef MAHROUG

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6 février 2010 6 06 /02 /février /2010 14:33

La Tunisie se targue, à juste titre, d’être le pays où la classe moyenne constitue la base la plus large, d’être un pays où le taux de pauvreté a baissé sous la barre psychologique des 4%, un pays où plus des 80% de la population sont propriétaires de leur logement, un pays où la moyenne de revenu par tête d’habitant se situe déjà à plus de 5000 dinars par an.
Mais si on regardait, de plus près, la réalité des salaires sur le terrain ? En effet, entre ce que devrait gagner untel et ce qu’il gagne, effectivement, il y a parfois tout un monde. Cherté des places oblige, lors des recrutements, le paiement du salaire, dans le secteur privé, notamment, ne se fait plus, obligatoirement, selon le diplôme ou la compétence du candidat, mais bel et bien selon l’urgence de ses besoins.
Ainsi, par les temps de crise qui courent et vu l’abondance des demandes d’emploi et la prolifération des diplômés du supérieur, les employeurs n’ont que l’embarras de choix et c’est à celui qui, parfois, accepte le plus bas salaire, que reviendra le poste.
En toute logique, il est normal qu’à valeur et compétence égales, un employeur retienne celui qui lui coûtera moins cher. Ce n’est cependant pas le cas de toutes les fonctions. Pour certaines, les employeurs n’hésitent pas à payer des salaires élevés pour des candidats de valeur. Et la valeur ne se mesure pas toujours par le diplôme ou l’expérience, mais par le savoir-faire. Voici ce que gagnent les Tunisiens en moyenne, secteur par secteur.

Pour que nos lecteurs aient une idée assez précise de ce qu’on peut appeler la grille des salaires des différentes professions, nous avons procédé, selon les moyens de bord que nous avons voulu le plus fiables et crédibles possibles, à une collecte des données sur cette question auprès des gens des différentes corporations concernées. Donc auprès de gens qui ont bien voulu nous déclarer les salaires qu’ils reçoivent. Pour d’autres, on a fait appel à des documents officiels d’assemblées générales d’entreprises (cas des sociétés cotées en bourse) ou encore aux déclarations publiques des concernés (cas des sportifs).
Si on compare les extrêmes à savoir le plus bas salaire, qui est celui de l’ouvrier smigard et sans aucune qualification, et la plus haute rémunération à savoir celle d’un PDG d’une banque privée, on constate que le fossé est énorme, mais il est vrai que l’assiette la plus large tourne autour de 500 dinars par mois, émoluments perçus par un cadre moyen ou un technicien supérieur. Ces émoluments ne comprennent pas les extras, à savoir les primes, les bons d’essence, les tickets restaurant, etc.
Toujours est-il que pour le même poste, des différences existent selon que l’on soit débutant ou confirmé sans oublier l’ancienneté qui implique l’octroi des avancements en échelles et échelons.

Charité bien ordonné commence par soi-même. Chez les journalistes, si la convention collective veut que l’on commence, pour un maîtrisard de l’IPSI, à près de 600 dinars, et atteindre près de 1000 dinars lorsqu’on a le grade de rédacteur en chef, la réalité n’est pas toujours ainsi, dans le sens où nombreux sont les journalistes qui exercent, aujourd’hui dans certaines entreprises journalistiques selon le statut de contractuel avec une rémunération ne dépassant pas, dans le meilleur des cas, les 400-500dinars. C’est notamment le cas dans le secteur privé. Dans le public, et après une dizaine d’années d’expérience, ce salaire tourne autour de 1200 dinars.
Dans l’Education, un enseignant du secondaire commence avec un salaire mensuel de 700 dinars qui peut atteindre jusqu’à 850-900 dinars, alors que l’instituteur débute avec 600 dinars avant de monter selon son ancienneté, les avancements et les promotions.

Dans la corporation médicale, le médecin généraliste commence, dans la santé publique, avec un peu plus de mille dinars, le médecin spécialiste touche dans les 1500 dinars alors que le professeur agrégé arrive jusqu’à deux mille dinars.
Chez le corps des magistrats, on débute à 1300 dinars pour le premier degré. On passe à près de 1600 dinars pour le deuxième degré avant de passer jusqu’à un peu plus de deux mille dinars pour le troisième degré (cassation)
Pour les chefs d’entreprises privées, la fourchette se situe entre 1500 et 5000 dinars, alors que pour leurs homologues dans le secteur public, elle va de 2000 à 3000 dinars.
Pour les banques, le salaire d’un PDG dans le public varie entre 2300 et 2800 dinars alors que le salaire d’un PDG dans le privé passe à des proportions extraordinaires pouvant atteindre jusqu’à… 90 000 dinars par …mois ! C’était le cas dans une grande banque privée de la place il y a quelques années. On en saura certainement davantage cette année avec l’obligation légale imposée par la nouvelle loi de publication des salaires des premiers dirigeants.

Il y a lieu d’évoquer, également des salaires trop bas comme ceux des femmes de ménage employées selon le système de sous-traitance. Parfois, celles-ci ne touchent pas plus de 80 dinars par mois, alors qu’une secrétaire médicale dans un cabinet d’un médecin touche entre 120 et 250 dinars.
Les émoluments évoqués constituent le net perçu mensuellement sans compter les indemnités et autres primes de rendements ou les honoraires des gardes pour les médecins.

Sans prétendre couvrir toutes les branches professionnelles et avec des chiffres le plus proches de la réalité du terrain, voici, une grille non exhaustive des salaires mensuels d’un bon nombre de professions. Ces salaires sont donnés à titre indicatif en moyenne et en net hors primes et avantages :

- Médecin généraliste : 1000 dinars
- Médecin spécialiste : 1500 dinars
- Professeur en médecine : 2000 dinars
- Infirmier : 500 dinars
-Enseignant du supérieur : 1100 – 2000 dinars
- Enseignant du secondaire : 700-900 dinars
- Instituteur : 600 dinars
- Juge : 1300-2000 dinars
- Journaliste : 400-600-1000 dinars
- Rédacteur en chef : 1100-1200 dinars
- Ouvrier : 250 dinars
- PDG de banque : A partir de 2300 dinars et jusqu’à 90.000 dinars
- Dirigeant de PME (privée) : 1500-5000 dinars
- Dirigeant d’une entreprise publique : 2000-3000 dinars
- Ingénieur NTIC : 800 – 2000 dinars
- Secrétaire : 250-400 dinars
- Chauffeur de bus (public): 450 dinars
- Chauffeur de bus (privé) : 250 dinars
- Policier : 350 – 400 dinars
- Agent dans une banque : 600 – 700
- Cadre dans une banque : 900 - 1300

Noureddine HLAOUI
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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 14:47
Les nouvelles solutions OnDemand de Q-Software complètent Windows Identity Foundation et reposent sur Windows Azure

Q-Software présente ses premières solutions de gestion des environnements Windows en mode SaaS (Software as a Service). Conçues pour apporter de la valeur ajoutée aux technologies Microsoft, les solutions Quest OnDemand seront hébergées sur Windows Azure, la toute nouvelle plateforme cloud computing de Microsoft. Les deux premières solutions SaaS de Quest complètent les outils Windows Identity Foundation (WIF) et Active Directory Federation Services (AFDS) 2.0 de Microsoft, pour aider les services informatiques à gérer les identités et sécuriser les accès au système d'information.

Actuellement disponibles en version bêta, Quest Recovery Manager OnDemand for Active Directory et Quest InTrust OnDemand, les deux premières solutions de la gamme Quest OnDemand, devraient être commercialisées au premier trimestre 2010.

Version SaaS de Quest Recovery Manager for Active Directory, solution de restauration au niveau de l'objet et de sauvegarde du service d'annuaire Active Directory de Microsoft, Quest Recovery Manager OnDemand for Active Directory est conçue pour programmer et gérer les sauvegardes sans intervention manuelle. Elle permet de restaurer rapidement et de manière granulaire les données de l'Active Directory.

Quest InTrust onDemand, version SaaS de Quest InTrust, facilite la collecte, le stockage sécurisé et l'analyse des journaux d'événements des environnements Windows. Ses rapports d'audit et ses alertes générées en ca s d'incident permettent aux entreprises de se conformer aux meilleures pratiques en matière de sécurité et de politiques internes, ainsi qu'aux législations en vigueur.

Ces deux solutions seront disponibles sur simple souscription au service, accessibles à distance, incluant la maintenance, sans aucun déploiement sur site.
Hébergées sur la plateforme cloud computing Windows Azure, elles complètent Windows Identity Foundation, gamme d'outils pour gérer les identités et l'authentification des utilisateurs, ainsi que la sécurisation des accès aux applications qui sont à la fois dans le « nuage » et sur les serveurs de l'entreprise. Elles reposent en outre sur Active Directory Federation Services 2.0 qui réalise le lien entre l'Active Directory et les solutions Quest OnDemand.

Quest Software prévoit également le la ncement de Quest Site Administrator Reports OnDemand for SharePoint, solution de découverte automatique, d'inventaire et d'analyse d'utilisation des déploiements Microsoft SharePoint à l'échelle de l'entreprise, spécifiquement adaptée à la plateforme Windows Azure. Cet outil sera disponible gratuitement.

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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 14:38
Q- éditeur de solutions pour la gestion des systèmes d’information, dévoile les nouveautés de ses solutions pour migrer de Lotus Notes vers Microsoft Exchange, SharePoint, Office Communications Server et la suite Business Productivity Online Suite (BPOS). Avec plus de 20 millions d’utilisateurs migrés au cours des dix dernières années, l’offre de Quest vient d’être recommandée par Microsoft dans le cadre de son programme Enterprise Notes Migration (ENM) pour sa capacité à industrialiser les migrations à la fois sur site et dans le Cloud.

Parmi les nouveautés, Quest annonce la disponibilité d’une nouvelle version de Quest Notes Migrator for Exchange, sa solution pour simplifier le processus de migration de Notes vers Exchange, tout en réduisant les risques et les coûts associés. Notes Migrator supporte dorénavant les migrations vers d’Exchange 2010. Pour mémoire, cette solution fait partie d’une gamme complète de produits pour préparer la migration vers Exchange, SharePoint, Office Communications Server et la suite Business Productivity Online Suite (BPOS), gérer la coexistence et réécrire les applications.

« Le climat économique actuel a entraîné une augmentation du nombre de migrations de Lotus vers les plateformes Microsoft, les entreprises cherchant à réduire les coûts d’exploitation et/ou à rationaliser leur système d’information, notam ment à la suite de fusions-acquisitions. », déclare Bill Evans, vice président de la division SharePoint et Notes Transition chez Quest Software. « Nos solutions, combinées aux prestations de services réalisées par nos partenaires certifiés, permettent aux entreprises d’être accompagnées de bout en bout lors de leur migrations, depuis l’inventaire de l’existant jusqu’à la migration, en passant par la gestion de la coexistence, pour un coût tout à fait abordable. », poursuit-il.

En parallèle, Quest Software annonce ses premières migrations vers Microsoft Exchange Online et SharePoint Online, aussi bien aux États-Unis qu’en Europe. Par exemple, la Croix Rouge suédoise a récemment migré plus de 700 utilisateurs Notes vers Exchange Online en un seul week-end. Ses outils ont également ét&ea cute; choisis pour les premières migrations de Notes vers SharePoint Online, reposant sur l’infrastructure cloud de Microsoft, un cloud dédié, distinct physiquement et optimisé, pour garantir la sécurité des échanges et la confidentialité des données des entreprises.
L’ensemble de ces nouveautés seront présentées lors des Microsoft TechDays qui se tiendront à Paris du 8 au 10 février 2010 (Palais des Congrès, Porte Maillot, Stand I 11).
Disponibilité
Quest Notes Migrator for Exchange 4.2, qui supporte désormais les migrations vers Exchange 2010, est disponible dès maintenant. Quest Notes Migrator for SharePoint, avec la possibilité de migrer vers SharePoint 2010, sera disponible en bêta ce mois-ci.
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3 février 2010 3 03 /02 /février /2010 14:25
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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 00:49
Les améliorations apportées par Microsoft à SharePoint 2010, la nouvelle version de sa plateforme collaborative (attendue pour juin), pourraient bien être surdimensionnées pour les utilisateurs ayant des besoins ponctuels et spécifiques, selon une récente analyse de Forrester Research. Globalement, cette étude attribue des notes élevées aux fonctions dont bénéficie désormais le serveur -qui est rapidement devenu l'une des meilleures ventes de l'éditeur. Mais le cabinet estime que seuls les utilisateurs de SharePoint 2007 en attente d'avancées sur les outils de réseaux sociaux devraient envisager de passer à la version 2010.

Pour Rob Koplowitz, l'analyste de Forrester auteur du rapport, SharePoint 2010 devrait être plutôt considéré comme un choix stratégique important pour les clients qui n'ont pas encore adopté la plate-forme. Selon lui, ces utilisateurs devraient toutefois considérer l'ensemble des fonctionnalités du logiciel et s'assurer qu'il n'est pas surdimensionné par rapport à leurs besoins. Ajoutant que « SharePoint 2010 peut être un marteau, mais qu'il n'y a pas que des clous à enfoncer. »

Le rapport conclut que SharePoint 2010 n'est peut-être pas adapté aux utilisateurs ayant des besoins basiques, indiquant que ceux-ci pourraient être mieux remplis par des outils comme ceux proposés par Socialtext ou Jive. En outre, les conditions de licence proposées devraient calmer ceux qui cherchent à construire des communautés sociales entre les entreprises, ou encore ceux qui ont besoin d'outils de gestion de contenus Web performants et capables de gérer d'importants flux de contenus. Les entreprises ayant des exigences avancées en matière de 'nettoyage' et de transformation de données risquent au contraire de ne pas trouver SharePoint 2010 à leur mesure.

Une plateforme ouverte aux développeurs

Microsoft a fait évoluer SharePoint au-delà de son rôle de serveur d'application pour le transformer en plateforme à part entière, capable de gérer des applications qui vont de l'intranet jusqu'au cloud, et qui s'ouvre aux développements externes. L'éditeur a poussé les capacités de SharePoint pour le transformer en serveur Web, y intégrer des outils de développement (Visual Studio) et de conception d'interfaces (SharePoint Designer). S'y ajoute encore un ensemble de fonctionnalités pour réseaux sociaux, un environnement plus sécurisé et un ensemble d'API pour faciliter l'intégration à un cloud, positionnant ainsi SharePoint comme une des technologies les plus avancées sur le marché.

Pour Rob Koplowitz, « SharePoint 2010 répare les lacunes et les problèmes détectés dans les versions antérieures. » L'analyste souligne également que les outils destinés à constituer des réseaux sociaux sont aujourd'hui « de première classe », bien adaptés aux usages des consommateurs, et que les fonctionnalités de profilage sont bien meilleures, notamment dans le support des blogs, des wikis, des tags et des fils d'information (feeds). Le rapport détaille enfin d'autres améliorations importantes, comme l'arrivée d'un client offline, SharePoint Workspace, basé sur la technologie Groove acquise par Microsoft en 2005, de nouvelles fonctionnalités destinées aux développeurs, l'intégration avec la gamme d'applications business et des améliorations dans la recherche et la gestion documentaire.
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29 janvier 2010 5 29 /01 /janvier /2010 00:39

Les déploiements de SharePoint Server 2007 se multiplient en entreprise pour des applications de gestion de contenus, selon une récente enquête de Forrester qui prédit une utilisation massive de la plateforme.

L'adoption d'Office SharePoint Server 2007, la solution de portail et de collaboration de Microsoft, semble être en passe de changer le paysage de la gestion de documents, si l'on en croit une enquête tout juste publiée de Forrester. Une popularité qui gagne en dépit des limites rencontrées sur la gestion des gros volumes de données et, même si, sur certains processus spécifiques, le produit n'est encore pas assez mature. On ne le choisira pas pour gérer les contrats, par exemple, juge Kyle McNabb, analyste chez Forrester et auteur de l'enquête.

Selon le cabinet d'études, la croissance enregistrée par Microsoft sur Office SharePoint Server (MOSS) 2007 serait l'une des plus rapides qu'aurait connu l'éditeur sur un de ses produits. Cette offre, qui paraît avoir autant d'usages qu'un couteau suisse, est adoptée de façon accélérée pour gérer les contenus d'entreprise.

MOSS comporte six champs d'application principaux. La plateforme, utilisée à la fois comme portail, moteur de recherche et solution de collaboration, est aussi mise à profit pour accéder aux outils décisionnels et gérer les contenus et documents. Associée aux progiciels de gestion Microsoft Dynamics, elle permet aussi de dérouler des processus métiers.
A noter que depuis le mois dernier, les fonctions de collaboration de SharePoint sont proposées en ligne, aux Etats-Unis, dans une version bêta, dans le cadre d'Online Services. .


Dans la moitié des cas, SharePoint remplace un système installé

L'enquête de Forrester montre que 24% des 259 responsables informatiques interrogés migrent actuellement vers MOSS 2007 ou le mettent en place, alors que 41% prévoient de le faire dans les six prochains mois et 12% avant un an.

Parmi ceux qui installent l'offre, 22% ont un projet de gestion documentaire, 17% veulent soutenir la collaboration entre les utilisateurs, 16% visent l'application décisionnelle, 15% misent sur l'amélioration des performances métiers, 9% souhaitent favoriser les échanges avec l'extérieur (partenaires, fournisseurs, clients...) et 9% comptent déployer une communication unifiée.

Dans un peu plus de la moitié des projets de gestion documentaire, MOSS 2007 vient remplacer un système déjà installé, alors que dans 32% des cas, il s'agit d'une première utilisation de cette catégorie de fonctions. En complément, 16% de ces projets prévoient d'installer MOSS en complément d'un autre système de gestion de contenus.
L'enquête de Forrester montre aussi qu'une majorité d'utilisateurs (60%) prévoit un déploiement par étapes, par départements ou encore par projets spécifiques, au cas par cas. 40% prévoit un déploiement à l'échelle de l'entreprise dans une période ramassée.

« SharePoint va être utilisé et de façon massive, affirme Kyle McNabb. Mais pour chaque application, il y a une brèche dans laquelle peuvent s'engouffrer d'autres acteurs ». Pour lui, ceux-ci pourraient ainsi prendre charge les archives et pallier les limitations de la plateforme Microsoft sur la gestion des gros volumes.

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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 12:03
Vendredi 29 Janvier 2010 wif2010
09h:00 Démarrage du train tracking GPS- Gouvernorat de Nabeul
10h:00 Faculté des sciences économiques et de gestion- Campus Universitaire Nabeul
10h:30 Institut Supérieur des Beaux Arts- Campus Universitaire Nabeul
11h:30 Institut Supérieur des Langues Appliqués et de Gestion- Nabeul
12h:00 Place de droit de l’homme- Av. Habib thameur- Nabeul
Vendredi 29 Janvier 2010  
09h:00 Démarrage du train tracking GPS- Gouvernorat de Nabeul
10h:00 Faculté des sciences économiques et de gestion- Campus Universitaire Nabeul
10h:30 Institut Supérieur des Beaux Arts- Campus Universitaire Nabeul
11h:30 Institut Supérieur des Langues Appliqués et de Gestion- Nabeul
12h:00 Place de droit de l’homme- Av. Habib thameur- Nabeul

Vendredi 29

Janvier 2010

09h:00

Démarrage du train tracking GPS- Gouvernorat de Nabeul

10h:00

Faculté des sciences économiques et de gestion- Campus Universitaire Nabeul

10h:30

Institut Supérieur des Beaux Arts- Campus Universitaire Nabeul

11h:30

Institut Supérieur des Langues Appliqués et de Gestion- Nabeul

12h:00

Place de droit de l’homme- Av. Habib thameur- Nabeul

Workshops

Samedi 30 Janvier

2010

09h:00 – 10h:00

Accueil et mise en place des compétiteurs

10h:00 – 10h:45

WEBJAM Briefing

11h:00

Lancement de la compétition Webjam

15h:00 – 15h:30

Ouverture officielle

15h:30 – 18h:00

Conférences

15h:30 – 16h:00

Concept Cluster- Success Story Get’It

  • Khaled Mehiri > Coordinateur Get’it

16h:00 – 16h:45

Panel (1)- “Cloud Computing”

  • Mohamed Ben Yahia > Ingénieur en chef des systèmes informatiques – sous directeur veille technologique
  • Heïthem El Mir > Directeur Technique – Agence Nationale de la Sécurité Informatique(ANSI)
  • Walid Kooli > Expert en TIC- Chargé de mission au prés du Ministre de la santé
  • Nader Yamoun > Founder, Executive Manager WebDesign sarl – Tunisie
  • Hsan Soussou > Manager – Medsoft

16h:45 – 17h:00

Débat

17h:00 – 17h:45

Panel (2) – “Certification des compétences”

  • Mejdi Ayari > Expert LPI
  • Faiez Gargouri > Enseignant Universitaire, Directeur ISIM Sfax
  • Mohamed El ghodbane > Expert Microsoft
  • Hafedh Yahmadi > Responsable Microsoft Innovation Center(MIC)

17h:45 – 18h:00

Débat

14h:00 – 18h:00

Workshops

14h:00 – 18h:00

Pratiques sur la sécurité web

  • Tarek Ben Mouhamed- chef de service incident- (ANSI)
  • Amine Rached- Ingénieur principal- (ANSI)

MEF in the Silverlight

  • Yosr Nekhili – Club MSP INSAT
  • Yoysra Bouaben- Club MSP INSAT

Nouveautés Internet Explorer 8

  • Mohamed Taher Jouida  - Club MSP ISI
  • Mohamed Ali Jeridi – Club MSP ENIT

Initiation à la certification LPIC-1

  • Riadh Rezig > Trainux Filial LPI au Maghreb

14h:00 – 17h:00

Cluster Startup Web

 
  • Cluster Pépinière
  • Cluster ISBAN
  • Cluster FSEG
  • Cluster ISET

Dimanche 31

Janvier 2010

10h:00 – 13h:00

 
 

Sécurité des transactions électroniques

  • Ramzi Khlif – Chef unité de développement des affaires > (ANCE)

10h:00 – 12h:00

Sensibilisation spéciale famille

  • Certification électronique et sécurité informatique > (ANSI) & (ANCE)

11h:00

Clôture WEBJAM et téléchargement des travaux

11h:00 – 17h:00

Jury Webjam

12h:00 – 17h:00

Projection des travaux au grand public

18h:00

Clôture WIF 2010

 

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4 janvier 2010 1 04 /01 /janvier /2010 16:38

LISTE  DES  100  MEILLEURES  UNIVERSITES  AFRICAINES

 

 

( En  cliquant,  sur  le  nom  de  chaque  université,  vous  accéderez  à  une  image  architecturale  de  l'université,  ET,  à  un  certain  nombre  de  renseignements  de  cette  université. )

 

 

 

 

Universities 1 to 100 of 100
         
         
1 UNIVERSITY OF CAPE TOWN Flag of za 349  

2 RHODES UNIVERSITY Flag of za 624  

3 STELLENBOSCH UNIVERSITY Flag of za 653  

4 UNIVERSITY OF PRETORIA Flag of za 686  

5 UNIVERSITY OF THE WITWATERSRAND Flag of za 703  

6 UNIVERSITY OF THE WESTERN CAPE Flag of za 1,115  

7 UNIVERSITY OF SOUTH AFRICA Flag of za 1,307  

8 UNIVERSITY OF KWAZULU NATAL Flag of za 1,309  

9 AMERICAN UNIVERSITY IN CAIRO Flag of eg 1,691  

10 UNIVERSITE DE LA REUNION Flag of re 1,705  

11 NELSON MANDELA METROPOLITAN UNIVERSITY Flag of za 2,137  

12 UNIVERSITY OF THE FREE STATE Flag of za 2,383  

13 CAIRO UNIVERSITY Flag of eg 2,492  

14 UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR Flag of sn 3,038  

15 UNIVERSITY OF ZIMBABWE Flag of zw 3,453  

16 UNIVERSITE ABDELMALEK ESSADI Flag of ma 3,664  

17 INSTITUT UNIVERSITAIRE DE FORMATION DES MAITRES DE LA REUNION Flag of re 3,681  

18 UNIVERSITY OF MAURITIUS Flag of mu 3,723  

19 UNIVERSITY OF JOHANNESBURG Flag of za 3,895  

20 UNIVERSITE CADI AYYAD Flag of ma 3,962  

21 STRATHMORE UNIVERSITY NAIROBI Flag of ke 3,989  

22 UNIVERSITY OF DAR ES SALAAM Flag of tz 4,081  

23 UNIVERSITY OF NAMIBIA Flag of na 4,084  

24 POLYTECHNIC OF NAMIBIA Flag of na 4,163  

25 UNIVERSITY OF NAIROBI Flag of ke 4,205  

26 UNIVERSIDADE EDUARDO MONDLANE Flag of mz 4,266  

27 ARAB ACADEMY FOR SCIENCE & TECHNOLOGY AND MARITIME TRANSPORT Flag of eg 4,302  

28 AIN SHAMS UNIVERSITY Flag of eg 4,407  

29 ECOLE MOHAMMADIA D’INGENIEURS Flag of ma 4,774  

30 AL AKHAWAYN UNIVERSITY IFRANE Flag of ma 4,790  

31 MANSOURA UNIVERSITY Flag of eg 4,822  

32 ADDIS ABABA UNIVERSITY Flag of et 4,850  

33 EGERTON UNIVERSITY Flag of ke 4,962  

34 INSTITUT AGRONOMIQUE ET VETERINAIRE HASSAN II Flag of ma 5,149  

35 NORTH WEST UNIVERSITY Flag of za 5,195  

36 UNIVERSITE ABOU BEKR BELKAID TLEMCEN Flag of dz 5,331  

37 UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU Flag of bf 5,422  

38 GERMAN UNIVERSITY IN CAIRO Flag of eg 5,719  

39 TSHWANE UNIVERSITY OF TECHNOLOGY Flag of za 5,739  

40 UNIVERSITY OF BOTSWANA Flag of bw 5,772  

41 ZAGAZIG UNIVERSITY Flag of eg 5,786  

42 UNIVERSITY OF BENIN Flag of ng 5,994  

43 UNIVERSITE DE BATNA Flag of dz 6,011  

44 NATIONAL UNIVERSITY OF RWANDA Flag of rw 6,053  

45 CAPE PENINSULA UNIVERSITY OF TECHNOLOGY Flag of za 6,262  

46 UNIVERSITY OF KHARTOUM Flag of sd 6,398  

47 MAKERERE UNIVERSITY Flag of ug 6,413  

48 MOGADISHU UNIVERSITY Flag of so 6,445  

49 UNIVERSITY OF FORT HARE Flag of za 6,478  

50 ECOLE SUPERIEURE PRIVEE D’INGENIERIE ET DE TECHNOLOGIES Flag of tn 6,492  

51 FACULTE DES SCIENCES RABAT Flag of ma 6,496  

52 UNIVERSITY OF GHANA Flag of gh 6,576  

53 UNIVERSITY OF ZULULAND Flag of za 6,594  

54 ASSIUT UNIVERSITY Flag of eg 6,653  

55 UNIVERSITE MOHAMMED PREMIER OUJDA Flag of ma 6,737  

56 ECOLE NATIONALE SUPERIEURE D’INFORMATIQUE ET D’ANALYSE DES SYSTEMES ENSIAS Flag of ma 6,790  

57 UNIVERSITY OF ZAMBIA Flag of zm 7,016  

58 AWOLOWO UNIVERSITY Flag of ng 7,017  

59 FACULTE DE MEDECINE & PHARMACIE Flag of ma 7,180  

60 UNIVERSITE VIRTUELLE DE TUNIS Flag of tn 7,347  

61 UNIVERSITE D’ALGER Flag of dz 7,377  

62 ECOLE DU PATRIMOINE AFRICAIN Flag of bj 7,391  

63 AMOUD UNIVERSITY Flag of so 7,432  

64 SOKOINE UNIVERSITY OF AGRICULTURE Flag of tz 7,481  

65 UNIVERSITE SIDI MOHAMED BEN ABDELLAH FES Flag of ma 7,506  

66 AFRICAN VIRTUAL UNIVERSITY Flag of ke 7,532  

67 SUDAN UNIVERSITY OF SCIENCE & TECHNOLOGY Flag of sd 7,624  

68 MANGOSUTHU TECHNIKON Flag of za 7,629  

69 UNIVERSITY OF MALAWI Flag of mw 7,630  

70 UNIVERSITE DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE HOUARI BOUMEDIENE Flag of dz 7,724  

71 UNIVERSITE M’HAMED BOUGARA DE BOUMERDES Flag of dz 7,820  

72 FACULTE DES SCIENCES TETOUAN Flag of ma 7,825  

73 INSTITUT SUPERIEUR DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION Flag of ma 7,877  

74 GARYOUNIS UNIVERSITY Flag of ly 7,884  

75 MOI UNIVERSITY Flag of ke 7,911  

76 UNIVERSITE DE BLIDA Flag of dz 7,962  

77 UNIVERSITE SENGHOR D’ALEXANDRIE Flag of eg 8,032  

78 KWAME NKRUMAH UNIVERSITY OF SCIENCE & TECHNOLOGY Flag of gh 8,039  

79 UNIVERSITY OF BURAO Flag of so 8,108  

80 ECOLE NATIONALE POLYTECHNIQUE D’ALGER Flag of dz 8,114  

81 UNIVERSITE MOHAMMED V SOUISSI Flag of ma 8,131  

82 AL AZHAR AL-SHARIF ISLAMIC RESEARCH ACADEMY Flag of eg 8,135  

83 PAN-AFRICAN UNIVERSITY Flag of ng 8,160  

84 MONASH UNIVERSITY SOUTH AFRICA Flag of za 8,228  

85 INSTITUT DE FORMATION EN TECHNOLOGIE ALIMENTAIRE Flag of ma 8,229  

86 UNIVERSITE HASSAN II AIN-CHOCK Flag of ma 8,276  

87 AMERICAN UNIVERSITY OF KINSHASA Flag of cd 8,286  

88 VAAL UNIVERSITY OF TECHNOLOGY Flag of za 8,309  

89 UNIVERSITE CHOUAIB DOUKKALI Flag of ma 8,320  

90 UNIVERSITE DE NOUAKCHOTT Flag of mr 8,409  

91 CENTRAL UNIVERSITY OF TECHNOLOGY Flag of za 8,445  

92 UNIVERSITY OF TANTA Flag of eg 8,480  

93 UNIVERSITE DJILLALI LIABES Flag of dz 8,511  

94 COLLEGE OF MEDICINE UNIVERSITY OF MALAWI Flag of mw 8,535  

95 UNIVERSIDADE CATOLICA DE ANGOLA Flag of ao 8,548  

96 CENTRE AFRICAIN D’ETUDES SUPERIEURES EN GESTION SENEGAL Flag of sn 8,598  

97 MINUFIYA UNIVERSITY Flag of eg 8,599  

98 INSTITUT NATIONAL DE FORMATION EN INFORMATIQUE Flag of dz 8,634  

99 UNIVERSITE ABDELHAMID IBN BADIS MOSTAGANEM Flag of dz 8,657  

100 UNIVERSITY OF IBADAN Flag of ng 8,661  

Universities 1 to 100 of 100
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